Monday, December 28, 2015

Sénat 360 : Immigration et brexit / Changement régional / gardes frontières (18/12/2015)






Published on Dec 18, 2015


Les titres :
Immigration et brexit, les enjeux européens
Du changement à la tête des régions
Vers un retour des gardes frontières ?
Les temps forts au Sénat


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Monday, December 21, 2015

Les merveilles du végétarisme





TheLibver

Uploaded on Jun 27, 2011

La viande est dangereuse pour la santé. DIEU a donné le message de la réforme sanitaire par les messages d'Ellen White. Nous devons être végétariens pour obéir à la volonté de DIEU.

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Monday, December 14, 2015

JOHN KERRY DURCIT LE TON


LIBYE



John Kerry, en Italie.© REUTERS/Remo Casilli

Le 14 décembre 2015 | Mise à jour le 14 décembre 2015

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL À ROME, FRANÇOIS DE LABARRE
@flabarre


Sous la houlette du Secrétaire d’Etat américain et son homologue italien Gentiloni, 17 pays et 4 organisations internationales réunis à Rome ont affiché leur soutien à l’accord politique inter-libyen, qui sera signé le 16 décembre au Maroc sous l’égide des Nations-Unies.


Ces derniers jours, la présentation de deux accords concurrents, l’un proposé par l’émissaire de l’Onu Martin Kopler et l’autre par des représentants politiques de différentes factions libyennes ont ajouté de la confusion à une situation chaotique qui profite aux organisations terroristes. Pour y couper court, a été décidé de réunir une conférence internationale pour la Libye. L’Italie qui partage une frontière avec la Libye, une histoire commune apparaissait d’autant plus légitime pour être le pays hôte, que son Premier ministre en 2011 Silvio Berlusconi, avait tenté de dissuader le Président américain de mener l’intervention de l’Otan en Libye ayant créé la situation chaotique où pourrait s’implanter de l’autre coté de la Méditerranée un nouvel Etat terroriste. Ce dimanche au Palais Farnesina à Rome, le Ministère des affaires étrangères italien, une large coalition diplomatique s’est dégagée pour réaffirmer la légitimité du cadre onusien pour trouver une issue politique rapide à la crise.

Fait marquant, étaient réunis autour d’une même table les ministres des Affaires étrangères de pays qui se livrent depuis deux ans une guerre par procuration sur le territoire libyen: l’Egypte et les Emirats Arabes unis qui ont soutenu l’« armée des tribus » du général Haftar. Le Qatar et la Turquie qui soutiennent les islamistes dits modérés basés à Tripoli et Misrata. Ces quatre pays stratégiques sur l’échiquier libyen étaient représentés par leurs ministres des Affaires étrangères respectifs. Au total, 17 pays dont l’Algérie, l’autre puissant voisin de la Libye, l’Arabie saoudite, la Jordanie, et la France -représentée par le Secrétaire d’Etat Harlem Desir- et quatre organisations internationales étaient présentes. Après une discussion de cinq heures, des représentants libyens dont les noms n’ont pas été communiqués se sont joints aux échanges qui se sont terminées en fin d’après-midi.
"CELUI QUI CHERCHERA À FAIRE ÉCHOUER CES NÉGOCIATIONS PAIERA LE PRIX"

Appuyé par le soutien de tous les acteurs clefs de la région en plus de celui de la Russie et de la Chine, John Kerry a martelé la légitimité des tractations initiées par l’Onu depuis un an et annoncé son intention ferme de tenir l’agenda annoncé. Le projet onusien qui sera signé mercredi à Skhirat au Maroc devrait donc être rapidement appliqué afin de garantir à la Libye sa souveraineté et qu’un gouvernement légitime prenne place à Tripoli. «Celui qui cherchera à faire échouer ces négociations paiera le prix», a martelé Kerry. Son ton très déterminé a révélé le caractère d’urgence de la situation en Libye où convergent actuellement de nombreuses unités terroristes de Syrie mais aussi, -d’après nos informations- depuis le Nigéria pour rallier Syrte, le principal bastion de l’Etat islamique en Libye.



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Saturday, December 5, 2015

Joyeux Sabbat


La marque de la Bête ~ Apo. 13:16




Publié par Hyacinthe Paris,
Modifié il y a 4 ans

Présentation au sujet: "La marque de la Bête Apo. 13:16

La marque de la Bête Apo. 13:16." — Transcription de la présentation:
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Page 3

La marque de la Bête Dimanche est le jour de repos religieux La marque de la Bête Dimanche est le jour de repos religieux Le sceau de Dieu Samedi est le jour de repos religieux Le sceau de Dieu Samedi est le jour de repos religieux.


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COP21: comment EDF, Engie, Total, Société Générale luttent contre le réchauffement climatique



Par Grégoire Pinson

Publié le 05-12-2015 à 09h18



Les grands groupes français disent se mobiliser contre le réchauffement climatique. Simple communication ou véritable engagement? Challenges passe au crible six d’entre eux.


Quelle que soit l’issue de la COP21, il y a deux avancées dont on peut déjà se féliciter : la mobilisation des sociétés civiles dans le monde entier contre le réchauffement climatique, comme l’avait noté l’ancienne ministre Corinne Lepage au 2e Sommet de l’économie de Challenges ; et l’engagement des entreprises. "C’est la principale différence avec Copenhague, note Gérard Mestrallet, PDG d’Engie. Elles sont là, et les investisseurs aussi."

L’initiative de Bill Gates en témoigne. Et le "manifeste pour le climat" de 39 groupes français, représentant 1.200 milliards d’euros de chiffre d’affaires, aussi. La présence, parmi eux, de spécialistes du recyclage (Veolia, Suez), du transport (SNCF, RATP) ou des économies d’énergie (Saint-Gobain, Schneider Electric) ne surprendra pas. A l’inverse, l’absence des constructeurs automobiles (Renault, Peugeot Citroën) étonne. Et la multiplication des tenants d’un "signal" carbone – le manifeste ne se prononce pas sur la taxe – passionne.

Avec, à la clé de cette quasi-unanimité, l’inévitable question : s’agit-il de greenwashing, ces actions de communication pour surfer sur la vague médiatique en faveur de la lutte contre le réchauffement ? Ou d’un vrai retournement ? Les Français sont sceptiques. Voici six engagements de poids lourds français pris à l’occasion de la COP21, et passés au crible des réalités.

Vincent Beaufils

Jean-Bernard Lévy, PDG d’EDF : "Nos émissions de CO2 sont bien inférieures à celles de nos pairs, de quinze fois."

Cette évaluation correspond au CO2 émis en France "avec le nucléaire, l’hydraulique et les énergies renouvelables", comme le précise le PDG d’EDF : 17 grammes par kilowattheure, contre une moyenne de 300 en Europe. A l’échelle mondiale, les émissions d’EDF sont plus élevées (100 grammes), mais nettement en deçà des autres électriciens (près de 600). Le profil vertueux d’EDF est bien sûr la conséquence de sa forte présence dans le nucléaire. Car dans les renouvelables (hors hydraulique), son empreinte est faible : seulement 5 gigawatts de capacité éolienne dans le monde et 0,85 de solaire sur un total de 136.

L’éolien et le solaire pèsent moins que le charbon, qui représente 6% du mix électrique d’EDF, soit 8 gigawatts. L’électricien compte dix-huit centrales, ne construit qu’une seule unité charbonnière (en Chine) et n’a aucun nouveau projet en vue. Depuis deux ans, dix tranches ont été arrêtées en France. Mais celles du Havre et de Cordemais, qui sont munies de systèmes de désulfuration, devraient être conservées.

Dans le cadre de son plan Cap 2030, EDF a établi une revue stratégique de ses actifs fossiles. Les conclusions seront connues début 2016, et on peut imaginer que certaines tranches de charbon seront arrêtées ou vendues. En attendant, EDF met le turbo sur les renouvelables. Le directeur général d’EDF Energies nouvelles, Antoine Cahuzac, a récemment annoncé qu’au cours des quinze prochaines années environ 16 gigawatts d’installations éoliennes et solaires devraient s’ajouter aux actuelles capacités.

Gérard Mestrallet, PDG d’Engie : "Le monde ancien, je le déprécie."

Cette petite phrase va poursuivre le PDG d’Engie pendant encore longtemps. Il l’a prononcée en février 2014 à l’occasion des résultats 2013, où les dépréciations d’actifs avaient atteint 14,9 milliards d’euros. Ce mouvement spectaculaire était une réponse à la crise que le groupe connaît en Europe et qui l’a contraint à fermer ou mettre sous cocon 11,5 gigawatts de centrales au gaz, l’équivalent de douze réacteurs nucléaires. Deux ans plus tard, Engie a passé la surmultipliée dans les renouvelables. La semaine dernière, il inaugurait un parc éolien de près de 100 mégawatts en Afrique du Sud. Dans le photovoltaïque, il a pris une autre dimension en acquérant en juillet le français Solairedirect.

Mais les faits sont têtus. Les renouvelables (hors hydraulique) représentent encore une portion congrue au sein d’Engie : 5,5 gigawatts sur un total de 115, contre 85 gigawatts pour les énergies fossiles. Aujourd’hui, c’est le charbon et ses 30 centrales qui posent problème. Sous la pression de Ségolène Royal, le groupe a annoncé qu’il n’investira plus dans de nouveaux projets charbonniers. Mais les ONG le poussent à aller plus loin. Qu’il renonce, par exemple, au projet en Turquie, en Mongolie, au Brésil et au Chili.

La forte empreinte charbon d’Engie (15% du mix) est la conséquence de l’acquisition d’International Power (IP) en 2010. Au moment du deal, Mestrallet vantait la forte présence du groupe britannique dans les pays émergents et les synergies pouvant être dégagées. Mais IP, c’est aussi des centrales au charbon en Inde, en Indonésie, en Australie, au Maroc… Une ressource qui, selon le document de référence de 2009, représente 21,5% du mix de la cible. Le français est moins impliqué (11%). Mais il n’y trouve à redire. En 2010, le charbon n’est pas un sujet.

Dirk Beeuwsaert, ex-chairman d’IP et aujourd’hui conseiller de la future patronne d’Engie, Isabelle Kocher, persiste à dire que "l’acquisition d’IP est une opération intéressante pour le groupe. Qui pouvait prévoir ce qui allait se passer cinq ans plus tard ?" Beeuwsaert ajoute que les pays en développement, notamment la Chine et l’Inde, n’ont pas du tout l’intention de renoncer au charbon. "L’aversion vient uniquement de l’Europe et des Etats-Unis." Et des investisseurs qui aujourd’hui le fuient. Avec ses actifs charbonniers, Engie se retrouve comme pris au piège. "On a mandaté des banques pour vendre quelques centrales, notamment en Asie, mais on ne va pas fermer le robinet", indique Judith Hartmann, directrice financière. Reste que, aujourd’hui, certains fonds de pension comme celui de Norvège, qui pèse 900 milliards d’euros, ont indiqué qu’ils se désengageraient des compagnies dont plus de 30% de l’activité est liée au minerai noir. Avec ses 15%, Engie n’est pas concerné. Mais Judith Hartmann le reconnaît. Le seuil des 30% n’est pas gravé dans le marbre. Les investisseurs pourraient très bien décider de le diminuer. On n’a pas fini de "déprécier le monde ancien" à Engie.

Patrick Pouyanné, directeur général de Total : "Nous sommes une partie du problème. Nous pouvons être une partie de la solution…"

Une partie de la solution dont parle le successeur de Christophe de Margerie, c’est le gaz. Il émet 30% de moins de CO2 que le pétrole. Il y a dix ans, cette ressource représentait 35% du portefeuille de production de Total. Aujourd’hui, 52%. En octobre, à Paris, dans le cadre de l’organisation OGCI (Oil and Gas Climate Initiative), aux côtés de sept patrons pétroliers, le directeur général de Total a appelé à un "accord efficace sur le climat".

La major française investit aussi dans les renouvelables : 500 millions d’euros par an dans les biocarburants, et surtout le solaire. En 2011, elle a pris 66% du californien SunPower. Avec 6 gigawatts déployés, la filiale de Total revendique aujourd’hui le deuxième rang mondial. La multinationale a aussi indiqué qu’elle allait cesser de produire et de commercialiser du charbon. Elle se retirera définitivement de cette activité l’an prochain. Total serait-il devenu écolo ? L’ONG InfluenceMap dénonce "le double langage" du groupe qui prétend être favorable à un accord sur le climat incluant un prix du carbone, alors qu’il a placé un de ses directeurs au board de l’American Petroleum Institute, une organisation qui fustige "l’idéologie étroite de la COP" (sic). Confronté à la transition énergétique, Total explore de nouvelles voies. Mais la réalité est là aussi têtue : les hydrocarbures représentent 81% du mix énergétique mondial, selon l’Agence internationale de l’énergie. Leur poids sera encore de 74% en 2040.

Frédéric Oudéa, directeur général de la Société générale : "Nous n’avons pas une vision idéologique du sujet climatique."

Le patron de la Société générale marche sur des œufs. Frédéric Oudéa veut bien accompagner la fin du charbon dans les pays à haut revenu, en ne finançant plus ni centrales ni mines. Mais il prend garde de ne pas se couper des pays en voie de développement. "La Société générale est très présente en Afrique, et ces pays doivent pouvoir accéder à une énergie pas chère, le renouvelable ne suffira pas à l’assurer", détaille le directeur général. "Au final, les financements que la Société générale s’engage à stopper ne concernent que 10% du marché mondial du charbon", regrette Lucie Pinson, chargée de campagne pour Les Amis de la Terre.

La banque rouge et noir semble engagée plus clairement dans le soutien aux énergies renouvelables, qui a mobilisé 70% de ses nouveaux investissements globaux dans l’énergie l’an passé. Sur les gros projets du secteur, elle revendique la première place parmi les banques françaises et la 7e dans le monde. "Depuis nos premiers investissements en 2003, nous sommes parvenus à une approche stabilisée de ces dossiers complexes", assure Jérôme Deflesselles, responsable des énergies nouvelles. La banque dispose de ses propres équipes d’ingénieurs pour décortiquer les plans des futures fermes éoliennes offshore, comme celle qu’elle finance depuis février au large du New Jersey. D’ici à 2020, les encours dans le renouvelable devront atteindre 10 milliards d’euros, deux fois plus qu’aujourd’hui.

Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP Paribas : "Arrêter totalement le financement des énergies fossiles serait peu réaliste."

Jean-Laurent Bonnafé a été piqué au vif en découvrant que BNP Paribas, qu’il dirige, occupait la tête du classement français des "banques noires" du climat, publié le 5 novembre par Oxfam et Les Amis de la Terre. Selon les ONG, l’établissement, partenaire historique de Total, a consacré 52 milliards d’euros aux énergies fossiles depuis 2009, soit 9 fois plus qu’aux énergies renouvelables. D’où la ferme réaction, le 19 novembre, lorsque Bonnafé a annoncé à son tour la restriction des financements dans le charbon. "Avec 23% d’énergies renouvelables et 59% de fossiles, le mix que nous finançons aujourd’hui est déjà en avance sur le mix mondial", s’est défendu le directeur général. Et d’ajouter que "dans les centrales électriques à charbon, depuis 2011, nous n’avons financé qu’un tiers des projets qui nous ont été présentés".

Certains ont toutefois fait du bruit, comme la centrale de Tata Mundra, en Inde, accusée, depuis son lancement de 2013, de détruire massivement l’environnement. Ou celle de Medupi, en Afrique du Sud, inaugurée le 30 août, alors que la préparation de la COP21 battait son plein. D’une durée de vie d’un demi-siècle, elle expulsera 25 millions de tonnes de CO2 chaque année. Aujourd’hui, promis, le cap est mis sur les énergies renouvelables, "vecteurs d’innovation et donc de développement". Bonnafé promet d’atteindre 15 milliards d’euros de financement pour ces dernières d’ici à 2020.

Stanislas Pottier, directeur du développement durable de Crédit agricole SA : "Il en va de la responsabilité du Crédit agricole de ne pas rester passif."

Bien nommée, la Banque verte ? Ce vendredi 4 décembre, Stanislas Pottier, directeur du développement durable de Crédit agricole SA, sera le seul banquier français présent à l’atelier thématique sur la finance et la lutte contre le réchauffement climatique. Preuve que l’établissement est parvenu à faire sérieusement remonter sa cote écolo, après des années d’accusation de greenwashing. Le recrutement de Pottier, en 2011, n’y est pas étranger : énarque, ancien conseiller auprès de Michel Rocard dans le cadre des négociations internationales sur l’Arctique et l’Antarctique, il connaît les ONG comme sa poche.

Côté banque d’affaires, Casa a annoncé, comme ses homologues, la fin partielle du financement des centrales à charbon. Côté gestion d’actifs, la filiale Amundi s’est engagée de manière déterminée dans le montage de produits financiers à bas carbone. S’ajoutent à ce "paquet climat" des mesures emblématiques, comme l’engagement à placer une part croissante de la trésorerie de Casa sur des obligations vertes dans les deux ans.

Mais un problème environnemental de taille demeure : le financement massif des produits phytosanitaires qui inondent les campagnes françaises. Ce mouvement sera difficile à corriger puisque les agriculteurs, FNSEA en tête, détiennent par principe la majorité des parts de la banque mutualiste.

Grégoire Pinson et Nicolas Stiel


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Saturday, November 14, 2015

Carnage à Paris: au moins 128 morts et un terroriste français identifié (direct)




La rédaction 
Mis en ligne il y a 3 minutes


Le président français a annoncé la fermeture des frontières. Le bilan humain pourrait encore s’alourdir.


©AFP
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L'édito : nous sommes tous des Parisiens


#PorteOuverte: l’incroyable élan de solidarité des Parisiens


Au Bataclan, «c’était l’horreur! Ils ont tiré dans le tas, au hasard!» (reportage)


Le niveau d’alerte terroriste n’est pas relevé en Belgique


Attentats à Paris: le groupe «Etat islamique» revendique les attaques




L’essentiel

Suivre les événements en direct

► Au moins 128 personnes ont été tuées (dont environ 80 victimes rien qu’au Bataclan) et 300 blessées dans six attentats coordonnés à Paris, selon un bilan encore provisoire

► Deux Belges ont perdu la vie dans les attentats

► Le groupe « Etat Islamique » revendique les attentats

► Huit assaillants sont morts, dont sept en se faisant exploser. Le corps d’un assaillant présumé du Bataclan, un Français, a été identifié.

► Le président français a décrété l’état d’urgence et a annoncé la fermeture des frontières. Il annonce un deuil national de trois jours.

► Le gouvernement fédéral a envoyé un message à l’ensemble des zones de police locale du royaume afin de relever le niveau de sécurité et de vigilance

► Des perquisitions sont en cours à Molenbeek en lien avec les attentats parisiens.
Les faits

La France a fait face à des attaques terroristes sans précédent. Une vague d’attentats suicide qui laisse le monde entier abasourdi.

► ÉDITO : Nous sommes tous des Parisiens

Une attaque au Bataclan, salle de spectacle dans l’est parisien, a fait environ 80 morts, ce vendredi soir. Cinq autres fusillades ont eu lieu dans d’autres secteurs de Paris : le Stade de France (4 morts), la rue Bichat (12 morts), boulevard voltaire (un des assaillants mort), la rue de Charonne (au moins 18 morts), la rue de la Fontaine-au-Roi (5 morts).



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Saturday, November 7, 2015

Les enfants de familles religieuses seraient moins altruistes que ceux de familles athées




Psychomédia

Publié le 6 novembre 2015



Contrairement à une croyance répandue, les enfants de familles religieuses seraient moins altruistes que ceux de familles athées, selon une étude menée dans six pays à travers le monde, publiée dans la revue Current Biology. La recherche a été financée par la John Templeton Foundationliée au fondamentalisme protestant(1).

Jean Decety (2), chercheur en psychologie et neuroscience développementale à l'Université de Chicago, et ses collègues (3) ont évalué l'altruisme et le jugement moral chez 1.170 enfants âgés de 5 à 12 ans dans six pays (Canada, Chine, Jordanie, Turquie, Etats-Unis, Afrique du Sud).


Ils ont également évalué la religiosité dans leur famille et le jugement des parents sur l'empathie et la sensibilité à la justice de leurs enfants.

Pour l'analyse des données, les participants étaient regroupés en trois groupes : non religieux, chrétiens et musulmans.

À travers ces 6 pays, les parents de familles religieuses percevaient un niveau d'empathie et de sensibilité à la justice dans la vie de tous les jours plus grand chez leurs enfants que les parents non religieux.

Or, au contraire, la religiosité s'est avérée, dans les 6 pays, en corrélation avec une moins grande empathie et avec une plus grande tendance punitive en réponse à un comportement antisocial.

L'altruisme était mesuré par la tendance à partager au moyen d'une adaptation du « jeu du dictateur » conçu par des économistes pour l'étude expérimentale de divers concepts. « 30 autocollants, les chercheurs leur proposaient de choisir leurs 10 préférés, en précisant qu’ils n’auraient pas le temps d’en distribuer à tous les écoliers », résume Le Monde. « Ils leur demandaient ensuite s’ils seraient prêts à en donner pour leurs camarades moins chanceux. Le nombre d’autocollants cédés, hors de la vue de l’expérimentateur, augmentait avec l’âge (un effet déjà connu du développement de l’altruisme chez l’enfant). Mais les petits athées se montraient significativement plus généreux que leurs pairs croyants, chez qui les dons étaient inversement proportionnels à l’intensité de la pratique religieuse – “quelle que soit la culture, c’est-à-dire le pays d’origine”, précise Jean Decety ». La relation négative entre la religiosité et l'altruisme se renforçait avec l'âge.

Pour l'évaluation de la sensibilité morale, les enfants regardaient de courtes animations dans lesquelles un personnage poussait quelqu'un intentionnellement ou accidentellement. Les enfants étaient interrogés sur le degré de méchanceté du comportement et la sévérité de la peine méritée. Les enfants ayant une éducation religieuse favorisaient des punitions plus fortes. Ces résultats confirment des études précédentes chez les adultes qui ont montré que la religiosité était liée à des attitudes punitives envers les offenses interpersonnelles.

« La laïcisation du discours moral ne réduit pas la bonté humaine. En fait, cela fait exactement le contraire », conclut le chercheur.

84 % de la population de la planète s’identifient comme religieux, rappellent Jean Decety et ses collègues.

(1) En 2007, mentionne Le Monde, la fondation a notamment remis le prix Templeton au philosophe québécois Charles Taylor (qui a été coprésident de la Commission Bouchard–Taylor), lequel « est connu (indique Wikipédia) pour sa thèse selon laquelle les sociétés laïques des pays de l’Ouest ne peuvent satisfaire la quête humaine de sens ».

(2) Autres études menées par Jean Decety et coll. relayées par Psychomédia : Le rat serait capable d'altruisme et d'empathie (2011) et Les psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres (2013).

(3) Jason M. Cowell, Kang Lee, Randa Mahasneh, Susan Malcolm-Smith, Bilge Selcuk, Xinyue Zhou

Psychomédia avec sources : Current Biology, University of Chicago, Le Monde.
Tous droits réservés

Source

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Thursday, October 29, 2015

La loi controversée CISA validée par le Sénat américain




Julien Lausson - il y a 22 heures


La loi controversée CISA validée par le Sénat américain



Le Sénat américain a approuvé un texte de loi controversé qui organise le partage de données sensibles entre les entreprises et le gouvernement en cas d'attaque informatique. Mais le processus législatif est loin d'être terminé.

L’affaire du piratage de Sony Pictures a laissé des traces outre-Atlantique. À tel point que le Sénat des États-Unis s’est finalement résolu à approuver dans sa grande majorité un texte de loi qui autorise le partage de données — dont des informations personnelles — entre le gouvernement, les agences fédérales et les entreprises en cas de cyberattaque ou de menace pour le réseau.

Déposée par la sénatrice démocrate Dianne Feinstein en juillet 2014, la proposition de loi CISA (pour Cybersecurity Information Sharing Act) a été soutenue par 74 voix contre 21. Comme son nom l’indique, le texte organise le transfert volontaire de certains éléments sensibles aux autorités américaines. En échange, les sociétés acceptant de communiquer des données utiles pourront recevoir un soutien accru de l’État.

De nombreux opposants se sont manifestés pour convaincre les sénateurs de ne pas soutenir ce texte. C’est le cas des organisations de défense comme l’EFF mais aussi de personnalités comme Edward Snowden, qui a déploré que les amendements prévoyant l’anonymisation des données personnelles pour préserver la vie privée des Américains, n’aient pas été retenus par les sénateurs.

Très controversée, la loi CISA prévoit également une couverture juridique pour les sociétés participant à ce projet, leur permettant d’éviter des poursuites en cas de partage excessif. Ce qui pourrait avoir un effet contreproductif : au lieu de prendre garde à ce qu’elles partagent, les sociétés pourraient être moins regardantes, la menace d’une action en justice n’agissant plus comme un garde-fou.

La loi CISA partage de nombreux points communs avec un précédent texte, le Cyber Intelligence Sharing and Protection Act (CISPA). Présenté en 2011, celui-ci prévoyait en effet des mesures similaires à CISA, à commencer par le partage des informations sensibles en cas d’attaque informatique. Mais en 2013, le Sénat s’était opposé au texte. En début d’année, il a toutefois été réintroduit par la chambre basse du parlement.

Bien qu’important, le vote du Sénat ne permet pas au texte d’entrer en vigueur tel quel. Le processus législatif américain est assez similaire à celui existant en France, avec des commissions et des sous-commissions chargées de travailler le texte et de mener des auditions, des débats publics en séance et une commission de conciliation en cas de désaccord entre les deux chambres.


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Wednesday, October 21, 2015

Quel est le septième jour calendrier samedi ou un dimanche?


Quel est le septième jour calendrier samedi ou un dimanche? Elle a été un changement?
De nombreux pays dans sa forme actuelle, ont sept jours calendrier le dimanche. Beaucoup de gens ignorent que le samedi est simplement la création d'septième jour du monde.

Lorsque nous regardons l'histoire, nous constatons que le dimanche est une fête païenne en l'honneur du soleil. Juifs et chrétiens, sainte Bible, le samedi qui peut être lu à plusieurs endroits dans la Bible.

Une semaine a sept jours, calculée à l'origine dans l'ordre dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi. Dans le calendrier civil, mais dans de nombreux pays du monde pris sur le comptage des jours par semaine du lundi parce que le lundi était le premier dimanche après la fête du Travail.

Lorsqu'elle est injectée dans le dimanche chrétien comme jour de repos, samedi, dimanche n'a pas été déplacé, à temps pour mettre en œuvre le changement dans la semaine du calendrier que le travail était terminé.

Deux week-ends étaient apparentes dans le 20 siècle. Cela a conduit certains à placer le calendrier dimanche à la fin de la semaine. La semaine de travail de cinq jours et la confusion d'adoration du samedi au dimanche, de nombreuses personnes ces dernières années a commencé à examiner lundi, alors que la date de début de la semaine.

ISO et les normes européennes pour le lundi comme premier jour de la semaine. La norme ISO 8601 mais n'est pas largement acceptées ou mises en œuvre à travers le monde.

Regardons le milieu de la semaine, ce que le nom de la langue tchèque renvoie au milieu de la semaine.

C'est jeudi, qui est maintenant au milieu de la semaine? Jeudi, c'est la désignation pour le quatrième jour après le dimanche (d'où son nom). À l'heure actuelle, le calendrier est vraiment au milieu de la semaine jeudi.

Jetons un coup d'oeil sur mercredi. Comme le titre Ceci est dû ce jour-là, le mercredi est le milieu de la semaine. Le mercredi est le jour en tchèque dans la semaine entre le mardi et le jeudi. Son nom (jeudi nom tchèque Streda = moyenne en anglais) dit qu'il est au milieu de la semaine, qui est dérivé à partir du milieu que la position du milieu, puis le quatrième jour de la semaine dans une calendriers traditionnels juifs et chrétiens. Dans le calendrier tchèque civile est le mercredi considéré comme un troisième jour.

Si nous regardons l'histoire de l'époque le nom tchèque d'une semaine pour finaliser le fait que le samedi est le septième jour et le dimanche le premier jour de la semaine.

Quand le jour commence et se termine?

Pour la plupart des animaux et même pour une journée de cours commence avec l'homme d'aujourd'hui le lever du soleil. La journée se termine alors avec le coucher du soleil. Les gens de nos jours ses connaissances scientifiques, technologiques, les limites de la nature quitté pour la journée. En ce moment dans le temps est calculé tous les jours de minuit à minuit.

Les jours calendrier juif à compter de coucher de soleil au coucher du soleil. Cette méthode de résolution de jour comme de nuit et a été repris par l'Église chrétienne. La résolution a été poussé hors de la période moderne.

Naturellement, donc, la journée se termine avec le coucher du soleil. Bible dimanche, le monde est de soleil le vendredi au coucher du soleil le samedi.

Quand et pourquoi vous avez commencé à sanctifier le dimanche au lieu du samedi?

Le christianisme a été officiellement reconnue et 7 Mars, en 321 l'empereur Constantin a publié un décret, qui a changé le jour de repos de samedi à dimanche. Constantin était un dévot du dieu païen du soleil, se sanctifiant ainsi ordonné le jour solaire. Au moment de l'arrêté n'a pas été un disciple de Jésus-Christ, le baptême est de laisser sur son lit de mort. Sa cause a été établi le dimanche comme un mémorial de la résurrection de Jésus, un peu comme les juifs par dépit.

loi du dimanche de Constantine a ajouté: «Que le Soleil au cours de la Vénérable sur les autorités et les personnes vivant dans le reste des villes, et que tous les ateliers et les magasins fermés Toutefois, les agriculteurs peuvent encore répondre à leurs moyens de subsistance..

L'Eglise a suivi la loi de Constantin au concile de Laodicée dans l'année 364e Il a publié le premier dimanche du droit religieux. 29e canon a décrété que les chrétiens doivent sanctifier le dimanche, et, si possible, ils devraient travailler ce jour-là, ils ne devraient pas être inactif, le samedi, mais ce jour devrait fonctionner.

Samedi a été remplacé le dimanche, a été le piétinement de la loi de Dieu de l'amour. Le christianisme a progressivement commencé à ramper beaucoup d'idées fausses et les fausses doctrines, que les fidèles doivent se tenir loin de la foi sincère et de renforcer le pouvoir et l'autorité de l'Église catholique.

Jour du sabbat biblique est le samedi.

Quand on regarde la Bible, nous trouvons que le samedi est le septième jour et le jour de repos biblique. Juifs et des chrétiens justifier le jour du sabbat, à ce jour, comme cela a été la création de ce monde.

La Bible nous dit que le samedi est le commencement de la création de cette journée mondiale de repos.

Genèse 2,1-3 - Cela a été fait le ciel et la terre avec toute leur diversité. Le septième jour Dieu acheva le travail qu'il avait travaillé dans le septième jour il se reposa de tout le travail que vous avez fait. Dieu bénit le septième jour et le sanctifia, parce qu'en ce jour Dieu se reposa de toute son œuvre, qui a créé et fait.

Dieu nous a donné au Mont Sinaï les Dix Commandements et le quatrième commandement est ainsi libellé:

Exode 20,8-11 - Rappelez-vous le jour du sabbat pour le sanctifier. Pendant six jours tu travailleras et tu feras tout ton ouvrage, mais le septième jour est le sabbat de l'Éternel, ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage - vous, votre fils, ni ta fille, ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, un immigrant dans tes portes. En six jours l'Éternel a fait les cieux et la terre, la mer et tout en eux, mais il s'est reposé le septième jour. C'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du sabbat et l'a sanctifié.

Jésus et ses disciples saint sabbat.

Jésus-Christ pendant sa vie sur la terre sainte samedi et exhorte à l'obéissance et le respect de la loi d'amour. Jésus n'est pas venu abroger la loi, mais la valeur par défaut. Jésus-Christ, sa mort sur la croix du droit à payer, comme beaucoup de chrétiens enseignent. Au contraire, Jésus nous a exhortés à respecter la loi et nous a avertis de tout changement dans la sienne.

Luc 4.16 - Quand il vint à Nazareth, où il a grandi, a assisté, selon sa coutume le jour du sabbat, à la synagogue et se leva pour lire.

Qu'est-ce que Jésus-Christ sur la validité de la loi et de son évolution possible?

Luc 16,17 - mais plutôt du ciel et la terre passent, que de cesser de payer un point de la loi!

Matthieu 5,17-19 - "Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la Loi ou les Prophètes: je n'ai pas venu pour abolir mais pour accomplir en vérité je vous le dis, tant que le ciel et la terre passeront pas le.. plus petite lettre, pas un iota de la loi, avant que tout se réalise. N'importe qui permettrait d'éliminer l'un de ces plus petits commandements et enseigner aux gens dans le royaume des cieux est considéré comme le plus petit. Mais quiconque veut être respecté et a enseigné le royaume des cieux seront considérés comme des grands.

Les premiers disciples de Jésus-Christ après la mort du saint sabbat.

Actes 16,13 - Nous sommes allés le samedi pour la ville à la rivière, où il était de coutume de prier. Nous nous sommes assis là et parlé à des femmes qui se sont réunis là-bas.

Actes 17,1-2 - Malgré Amfipolis Apolonia, puis arrivèrent à Thessalonique, où était une synagogue. Paul il ya comme il avait coutume d'aller et trois samedi leur a parlé de l'Écriture.

Dans la Bible, nous pouvons lire ce que la journée de repos garder le nouveau pays. Le nouveau pays se sanctifier le septième jour, samedi.

Isaïe 66,22-23 - Comme un nouveau ciel et une terre nouvelle, qui fera, subsisteront devant moi, dit le Seigneur, et restent, votre nom et vos descendants. De nouvelle lune en nouvelle lune, du samedi au samedi toutes les personnes viendront adorer moi, dit le Seigneur.

Samedi, le septième jour saint dans l'Ancien Testament, quand Jésus-Christ, pendant les premiers disciples. Samedi également s'appuyer sur le nouveau pays.

Il n'ya aucune raison pourquoi il devrait être de quelques siècles, le dimanche au lieu du samedi levé, les traditions et les croyances de l'homme. Parole de Dieu et de Dieu est immuable, et la loi de Dieu est constante, permanente et éternellement valide.

Comme indiqué dans le commencement, Dieu de sanctifier le septième jour samedi, et la nouvelle terre de sanctifier le septième jour samedi. Il s'ensuit donc que la création d'un nouveau pays (actuellement), peut être rien de plus qu'un jour de repos à nouveau samedi.

Considérez le temps que vous avez choisi. Samedi ou un dimanche, le Créateur de notre époque, le prince des ténèbres. A la fin il aura chacun de vous pencher d'un côté ou de l'autre.


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Syrie : Assad à Moscou pour remercier Poutine



21/10 | 10:14 | Par Claude FOUQUET

+VIDEO Le président syrien s'est rendu mardi à Moscou pour s'entretenir avec Vladimir Poutine. Ce dernier l'a assuré que la Russie était prête à tout faire, et pas uniquement sur le plan militaire, pour combattre le terrorisme.



Le président syrien Bachar al-Asssad a remercié mardi soir Vladimir Poutine pour son "aide" dans le conflit et a déclaré que sans l'intervention militaire russe en Syrie, le "terrorisme" aurait continué de gagner du terrain. Des remerciements qui, et c'est une première, se sont déroulés à Moscou où le président syrien effectuait ainsi son premier voyage à l'étranger depuis que la guerre a commencé dans son pays.

"Le terrorisme qui s'est répandu dans la région aurait gagné encore plus de terrain s'il n'y avait pas eu vos actions (militaires) et votre décision" d'intervenir en Syrie, a déclaré le président syrien lors d'une rencontre au Kremlin dont les télévisions russes ont diffusé des images.


"Nous sommes prêts à faire ce que nous pouvons, et pas seulement sur le plan militaire, pour combattre le terrorisme" a affirmé Vladimir Poutine, selon un communiqué publié par le Kremlin. Laissant entendre que Moscou veut aussi intervenir sur le plan politique. De fait, ce mercredi un porte-parole de la présidence syrienne a expliqué que "le président russe Vladimir Poutine a informé le président Assad qu'il allait s'entretenir avec les puissances internationales afin d'aboutir à une solution politique tout en combattant dans le même temps le terrorisme".
Accord pour éviter les incidents aériens

L'annonce de cette visite intervient alors que sur le terrain l'aviation russe qui continue d'épauler l'armée régulière vient de conclure un accord avec les forces aériennes américaines. S'il n'est pas encore question de collaborer ou de coordonner les missions, les deux pays sont tombés d'accord pour éviter les incidents entre avions. "Le memorandum contient un nombre de règles et de restrictions visant à empêcher des incidents entre les avions russes et américains" qui effectuent, dans le cadre d'opérations différentes, des frappes aériennes contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI) en Syrie, a aussi souligné Anatoli Antonov, vice-ministre russe de la Défense.

Le texte qui conseille notamment l'utilisation de certaines fréquences radio communes et préconise la création d'une ligne de communication secondaire au sol, n'est pas le point de départ d'une plus ample coopération entre Etats-Unis et Russie en Syrie.

"Il n'y a pas de zones de coopération, de partage d'informations ou d'informations sur des cibles", a expliqué Peter Cook, porte-parole du Pentagone. "Nous continuons à penser que la stratégie de la Russie en Syrie est contre-productive et son soutien au président Bachar al-Assad ne va faire qu'empirer la guerre civile".

Jusqu'à présent, il n'y a pas eu d'incident majeur dans le ciel syrien mais, d'après des responsables américains de la Défense, des avions de la coalition ont été contraints de changer de cap pour éviter de se retrouver dans la même zone que des appareils russes.



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Monday, October 12, 2015

Bruxelles: Les jeunes politiciens chrétiens de demain se réunissent pour prier




Source de l'article: http://www.evangeliques.info.


Le 1er octobre, un petit-déjeuner bruxellois a rassemblé une cinquantaine de jeunes politiciens chrétiens. Un événement qui a eu lieu au parlement européen de Bruxelles.

Ce petit-déjeuner a été organisé par l’European Christian Political Youth, l’European Evangelical Alliance et l’International Fellowship of Evangelical Students. Les jeunes ont par ailleurs été accueillis par Branislav Skripek, membre du parlement européen. De nombreux thèmes d’actualité ont pu être abordés durant cette réunion, tels que la crise des réfugiés, la liberté de religion où encore les changements climatiques.

Denys Dhiver, président de l’European Christian Political Youth, a convaincu les jeunes, qu’en s’engageant dans le monde politique, «il n’est pas possible de laisser sa foi à la porte, autrement nous serions comme des coquilles vides». Les jeunes chrétiens ont également été encouragés à faire preuve de courage afin de devenir des personnes qui ne peuvent cacher leur foi.

La rédaction d'Evangeliques.Info - 06 octobre 2015 13:41


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Monday, October 5, 2015

Débats au Vatican sur les questions qui déchirent l'Eglise catholique





© reuters.


Le synode sur la famille au Vatican est entré lundi dans le vif du sujet, pour trois semaines de débats intenses sur des questions qui déchirent l'Eglise catholique: divorcés remariés, unions libres ou homosexualité.

Le pape argentin a appelé les "pères synodaux" à ne pas considérer leur assemblée comme un "parlement" où les participants se livreraient à des "négociations, des tractations et des compromis", mais comme le lieu où "l'Eglise chemine ensemble".

Dimanche, lors de la messe d'ouverture de ce deuxième synode en deux ans sur la famille, Jorge Bergoglio avait d'ores et déjà fixé le cadre des débats, qui se prolongeront jusqu'au 25 octobre.

Il a réaffirmé le dogme catholique sur le caractère indissoluble du mariage, nécessairement célébré entre un homme et une femme, dans un discours très ferme de nature à rassurer les conservateurs. Mais il a aussi prévenu que l'Eglise se "trahirait" si elle fermait ses portes à "quiconque frappe et demande aide et soutien".

Et sans jamais nommer les personnes en situation "irrégulière" du point de vue de l'Eglise catholique (divorcés remariés, couples en union libre, homosexuels...), le pape argentin a rappelé qu'il ne saurait être question "de pointer du doigt pour juger les autres" car l'Eglise a "le devoir de chercher et de soigner les couples blessés".

François a rappelé de ce point de vue le devoir de la miséricorde, condamnant "une Église aux portes closes, qui, au lieu d'être un pont, devient une barrière".

Le pape a aussi appelé l'Esprit Saint à guider les débats dans cet "espace protégé" que doit être le synode. Car les débats s'annoncent houleux tant les divisions sont profondes.

L'homosexualité, l'une des questions abordées
Au-delà de la question de l'homosexualité, soulevée avec fracas samedi par le "coming out" d'un prêtre polonais, bien d'autres sujets divisent aussi l'Eglise, à commencer par la question cruciale des divorcés remariés.

Considérés comme infidèles à leur premier -- et aux yeux de l'Eglise unique -- conjoint, peuvent-ils communier comme les autres fidèles, comme beaucoup le réclament, ou sont-ils condamnés à rester éternellement en dehors des sacrements ?

Samedi, le père Krysztof Olaf Charamsa, membre de la curie romaine, le gouvernement du Vatican, a révélé son homosexualité, et dans le même temps son intention de vivre ouvertement son amour pour son compagnon Eduardo.

Il est temps que "l'Eglise ouvre les yeux face aux gays croyants et comprenne que la solution qu'elle propose, à savoir l'abstinence totale et une vie sans amour, n'est pas humaine", a déclaré ce théologien polonais de 43 ans.

"Le clergé est largement homosexuel et aussi, malheureusement, homophobe jusqu'à la paranoïa car paralysé par le manque d'acceptation pour sa propre orientation sexuelle", a-t-il affirmé.

Un savant dosage entre "conservateurs" et "libéraux"
Ces déclarations fracassantes ont provoqué les foudres du Vatican qui l'a aussitôt démis de ses fonctions auprès de la Congrégation pour la doctrine de la foi, organisme du Vatican chargé précisément de veiller au respect du dogme catholique.

"Malgré nos différences, ce synode ne doit pas être une épreuve de force dont les micros et les caméras seraient les arbitres", a rappelé lundi aux évêques le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, un des quatre co-présidents de l'assemblée.

Après un premier synode ayant révélé il y a un an de profondes dissensions, les 360 participants de ce deuxième round, nommés en septembre par le pape, représentent un savant dosage entre "conservateurs" et "libéraux", sans exclure les plus radicaux des deux camps.

Face à ces centaines d'évêques et de prélats, seuls 18 couples auront la charge de faire entendre la voix des femmes et des laïcs.

Pour le pape argentin, la famille traditionnelle subit une crise profonde et l'Eglise doit savoir répondre aux évolutions du temps sans pour autant s'y conformer. A la fin du synode, il reviendra à Jorge Bergoglio de décider seul, probablement au printemps, des inflexions à apporter ou non au message de l'Eglise.



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Wednesday, September 16, 2015

Crime Au Vatican



CRIME AU VATICAN

SOULITV1


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Published on Feb 6, 2013

Wednesday, September 9, 2015

Eglise catholique : le pape François simplifie la procédure de nullité des mariages

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Le pape François a ordonné et simplifié la procédure de nullité des mariages catholiques ce mardi. Une procédure désormais plus simple, plus rapide, et gratuite, afin d’en faciliter l’accès. Par cette décision, le souverain pontife a voulu faire un geste envers les moins favorisés, mais la mesure inquiète les prélats conservateurs.

Source

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Monday, August 31, 2015

Label Histoire n°2: La Nuit de la Saint-Barthélémy et Nicolas Flamel






Published on Oct 22, 2013

Label Histoire à Paris, Myriam Bounafaa et François Reynaert vous raconte:
Histoire #1: Massacre de la St Barthélémy : auriez-vous pu sauver votre peau ?
Histoire#2: La Tour St Jacques peut-elle changer le plomb en or ?

Histoire #1: Massacre de la St Barthélémy : auriez-vous pu sauver votre peau ?
C'est l'un des épisodes les plus sanglants de l'histoire de France. En une nuit, le 24 août 1572, 3000 protestants seront mutilés, assassinés, exterminés dans les rues de Paris.
Les chefs, les seconds... et très vite vieillards, femmes et enfants... Jusqu'au dernier, ordonne le roi ! La Seine est couleur sang... La capitale sent la mort... C'est le massacre de la Saint Barthélémy.

Myriam Bounafaa et François Reynaert se rendent au Louvre, sur les lieux du massacre. Pourquoi tant de haine ? Par où sont passés les survivants ? Et vous, auriez-vous pu sauver votre peau ?

Histoire#2: La Tour St Jacques peut-elle changer le plomb en or ?
La deuxième histoire de cette émission vous fera jeter un regard nouveau sur la Tour Saint-Jacques. C'est ici que le plus grand des alchimistes aurait trouvé le secret de la pierre philosophale : comment changer le plomb en or ? Il s'appelle Nicolas Flamel. Même Harry Potter parle de lui !
Myriam et François iront visiter sa maison, une des seules du XIVème siècle à être restée intacte... Ils apprendront aussi que bien plus tard, du plomb fondu était versé du sommet de la Tour !

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Saturday, August 29, 2015

Sabbat Heureux














J


Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis l'Éternel qui les sanctifie.

Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis l'Éternel, votre Dieu.
Ézéchiel 20:12,20.

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HISTOIRE PROTESTANTE DU XVI° SIECLE A LA REVOLUTION





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Published on Jun 1, 2014


De la naissance des Réformes en Europe au XVIe siècle, à l'implantation difficile du protestantisme en France jusqu'à la Révolution, trois films retracent l'histoire des mouvements protestants en Europe et en France. Des documentaires historiques, pédagogiques, où sont mis en scène les principaux personnages, lieux, évènements. Incontournable pour connaître l'histoire du protestantisme français.

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Thursday, August 20, 2015

La Macédoine décrète l’état d’urgence face à l’afflux de migrants



Le Monde.fr | 20.08.2015 à 17h08 • Mis à jour le 20.08.2015 à 18h28




Le gouvernement macédonien a décrété jeudi 20 août l’état d’urgence, notamment dans le sud du pays confronté à un afflux de migrants souhaitant se rendre en Europe occidentale. Le pays explique dans un communiqué qu’il va engager les forces armées pour aider à gérer cette « crise ».
« En raison d’une pression accrue à la frontière sud et d’une migration intensifiée sur le corridor balkanique, il a été estimé qu’un contrôle plus important et plus efficace était nécessaire dans la zone frontalière, où l’on enregistre des passages illégaux massifs en provenance de la Grèce. »

Des milliers de migrants, syriens, mais aussi somaliens, pakistanais, afghans ou irakiens, affluent ces derniers jours dans le sud de la Macédoine, en particulier dans la ville de Gevgelija, à la frontière avec la Grèce. Ils espèrent monter dans des trains en direction du nord et traverser la Macédoine, puis la Serbie, pour se rendre ensuite dans les pays du nord de l’Union européenne.


Voir le récit interactif : La Macédoine, nouveau purgatoire des migrants sur la route de l'Europe
Recours à l’armée

Le gouvernement macédonien a également décidé de déployer des forces armées et d’installer un quartier général dans la zone touchée par l’afflux de migrants pour aider les autorités locales.

« Nous pensons que le recours à l’armée va produire deux effets escomptés : améliorer la sécurité pour nos concitoyens dans ces deux régions et permettre une meilleure approche des gens qui souhaitent demander l’asile », a déclaré le porte-parole du ministère macédonien de l’Intérieur, Ivo Kotevski, cité par l’agence de presse officielle MIA.
Des wagons pour transporter les migrants

La Macédoine avait mis en garde mercredi contre une « situation alarmante » et lancé un appel aux pays voisins pour lui envoyer des wagons pour transporter les migrants vers le nord, ses propres capacités étant saturées.

Depuis janvier, environ 160 000 migrants, en provenance surtout des zones de guerre en Syrie, en Afghanistan ou en Irak, sont arrivés sur des îles grecques d’Egée en provenance des côtes occidentales turques proches, selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux réfugiés.

L’agence européenne Frontex a recensé une arrivée record de plus de 100 000 migrants pour le seul mois de juillet, un record depuis 2008.


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Monday, August 17, 2015

La médiocre ignominie appelée Hillary Clinton


Guy Millière – La présidence Obama restera dans l’histoire la pire présidence qu’aient connu Etats-Unis. J’ai dressé récemment une liste des ravages qu’elle laissera derrière elle.



C’est une liste provisoire, hélas, car il reste un an et demi à Obama pour agir. On voit ces ravages chaque jour dans de multiples rubriques, de l’environnement à l’économie et aux faits divers. L’un des ravages dont on a vu des exemples inquiétants ces derniers temps est celui constitué par les actes de violence commis contre des policiers par des criminels noirs : Obama n’a, depuis six ans et demi, cessé d’inciter à la haine contre la police et de renforcer le racisme anti-blanc qui infeste les communautés noires américaines. Ce racisme a suscité les émeutes de Baltimore, comme celles de Ferguson, qui viennent d’avoir des suites, avec la « commémoration » de la mort d’un jeune délinquant noir appelé Michael Brown. Ce racisme a suscité des assassinats de policiers par de jeunes délinquants noirs, et une recrudescence de la criminalité dont les premières victimes sont des noirs (on ne le dit pas en France, je sais, mais la France est un pays où l’information a disparu sous le poids de la désinformation).

Les ravages se voient en politique étrangère, et ont culminé en ce domaine avec les accords passés avec les mollahs iraniens, accords qui vont permettre à l’Iran de se doter d’armes atomiques et de financer davantage le terrorisme islamique et des organisations qui vont du Hezbollah au Hamas, des talibans afghans aux groupes qui se réclament encore d’al Qaida et n’ont pas fait allégeance à l’Etat Islamique. Ces accords sont si abominables que des démocrates en nombre croissant font défection, et qu’Obama est contraint de recourir à la menace et à la pression pour faire rentrer dans le rang ceux qui seraient tentés de voter contre au mois de septembre. Ils sont si abominables que les deux tiers des Américains, selon les sondages, et malgré les propos mensongers d’Obama et de John Kerry, déversés à jet presque continu, sont eux-mêmes hostiles aux accords (on ne le dit pas non plus en France, je sais, la désinformation fonctionne).

Les ravages sont si évidents pour nombre d’Américains que la révolte gronde, que le parti républicain lui-même est contesté par ceux qui ont jusque là voté républicain et qui voient en des gens tels que John Boehner, Speaker of the House, et Mitch McConnell, Majority Leader du Sénat, des traitres.

Ils expliquent le mouvement qui a porté Donald Trump, et qui, malgré les manipulations inhérentes au débat organisé par Fox News (qui, depuis, face au torrent d’emails critiques reçus a rectifié ses positions) se poursuit : pour l’heure, les deux personnes que le débat était censé avoir sabordé, Donald Trump et Ted Cruz en sont ressorties renforcées dans l’opinion.

Ils expliquent qu’à gauche, un candidat ouvertement socialiste concurrence Hillary Clinton, dans un pays où se dire socialiste valait jusque là l’élimination de la vie politique (sauf dans l’état dont vient ce candidat, Bernie Sanders : le Vermont).

Ils expliquent pour partie que l’étoile de Hillary Clinton pâlit de jour en jour.

Mais cette étoile a bien d’autres raisons de pâlir : Hillary Clinton a un passé accablant, qui inclut au moins une mort très trouble (celle d’un dénommé Vince Foster, retrouvé suicidé en 1993), des actes financiers douteux, de multiples soupçons de corruption, de mensonge sous serment, de parjure, de détournement de fonds, de destruction de preuves et d’obstruction à la justice (on ne le dit pas en France, je sais : la désinformation fonctionne très bien).

Hillary Clinton ne cesse au fil de sa campagne de tenir des propos manipulateurs, guidés par la volonté de séduire des fractions de l’électorat en un endroit, puis d’autres fractions de l’électorat en un autre endroit.

Elle est une très mauvaise candidate. Elle est porteuse d’une insoutenable fausseté qui devrait la faire perdre, et qui ne lui permet d’espérer gagner que parce que subsiste une coalition de gens vivant d’allocations sociales, de jeunes gens au cerveau tellement délavé qu’ils savent à peine encore qui était George Washington, et de bobos devenus riches grâce à internet et vivant dans leur bulle.

Si elle ne s’appelait pas Hillary Clinton, elle serait en prison, pour longtemps.

Elle incarne une ignominie qui s’approche de celle inhérente à Obama, mais elle n’a pas la prestance de bateleur d’estrade qu’a Obama. L’ignominie d’Hillary Clinton est une ignominie médiocre, qui devient repoussante pour un nombre croissant d’électeurs potentiels.

On prête à Obama l’intention de pousser Joe Biden, son vice-président, à entrer dans la course à la présidence aux fins d’être candidat à la place de la candidate si elle continue à sombrer. On lui prête, même, la volonté de faire sombrer la candidate, tant elle est mauvaise.

Je pensais jusque voici peu qu’Hillary serait élue (ou que Biden, s’il la remplace le serait) quoi qu’il arrive.

Je pense que si un candidat tiède comme Jeb Bush devient le candidat républicain, Hillary (ou Biden) gardera ses chances.

Mais je pense aussi qu’un candidat porté par la révolte serait à même de l’emporter.

Les ravages que la présidence Obama a occasionné et créera encore sont bien réels, mais il reste des Américains qui aiment l’Amérique et qui ne supportent plus ce qui se passe : ce sont des gens de la classe moyenne qu’Obama continue à broyer, des petits entrepreneurs, des noirs qui voient les catastrophes occasionnées par les racistes noirs anti blancs, des hispaniques victimes des effets de l’immigration clandestine qui tire les salaires vers le bas, des soldats, des anciens combattants.

L’Amérique n’est pas l’Europe, malgré les ravages que la présidence Obama a occasionné et créera encore.

La révolte incarnée par Donald Trump a ses racines dans ce qui a fait de l’Amérique ce qu’elle est, et c’est pour cela qu’un homme comme Ted Cruz la respecte. Elle fait trembler l’établissement républicain, et il est bon, dans le contexte présent, que l’établissement républicain tremble et soit incité à se souvenir du message des tea parties.

Les idées portées par Ted Cruz, mais aussi Ben Carson, Carly Fiorina, Marco Rubio, Scott Walker, Mike Huckabee, sont les idées qui ont fait de l’Amérique ce qu’elle est.

Ce sont les idées qui ont fait de l’Amérique un pays que j’aime autant que tous les Américains qui aiment l’Amérique.

Ces idées ne sont pas mortes.

Malgré les défauts du premier débat républicain, je songeais souvent en le regardant que ce débat aurait été impensable en Europe, que les idées qui y étaient exprimées, lorsqu’elles pouvaient être exprimées étaient des idées si éteintes en Europe que personne ne les énonce plus.

Il faut un Président conservateur à l’Amérique, il lui faut un président renouant avec l’esprit des pères fondateurs, de Ronald Reagan, de George Walker Bush lorsqu’il s’est conduit en capitaine courageux face à la tempête que fut l’après onze septembre.

J’imagine de moins en moins que Miss Hillary puisse être élue, ou que Joe Biden puisse l’être.

Voir que dans les sondages effectués ces derniers jours, les candidats qui ressortent renforcés sont, dans l’ordre, Donald Trump, Ben Carson, Ted Cruz, Carly Fiorina, montre qu’il se passe quelque chose.

Dans l’émission de Sean Hannity sur Fox News, lundi soir, Michael Cohen, porte-parole de Donald Trump a annoncé que Donald Trump allait présenter ses propositions dans les jours à venir : c’est ce qu’il a commencé à faire, et Sean Hannity a consacré toutes ses émissions jusqu’au 14 août à ce sujet.

Megyn Kelly, dans son émission, a dit que l’incident était clos, et que Donald Trump était un homme solide, dans une campagne rude. C’était une façon pour elle d’enterrer la hache de guerre qu’elle avait brandi. Dont acte.

Voir en tête des sondages un homme d’affaires qui a réussi et qui ose parler de manière tranchée, un grand neurochirugien noir conservateur, un homme qui a osé défier l’establishment républicain au nom des principes du conservatisme, une femme d’affaires, est très intéressant.

La campagne ne fait que commencer. Tout est possible.

Et si l’appareil républicain cesse de se montrer obsédé négativement, et paniqué par Donald Trump, et se tourne, comme il le devrait depuis longtemps, vers une dénonciation tranchée des ravages résultant des années Obama et vers une mise au jour incessante de l’insoutenable fausseté d’Hillary Clinton, tout en présentant des propositions nettes à même de rendre sa grandeur à l’Amérique, tout sera possible davantage encore.

Je ne pense pas que Donald Trump sera le candidat républicain, mais je pense qu’en incarnant ce qu’il a incarné ces dernières semaines, il a rendu un grand service à l’Amérique.

Nul ne sait qui sera candidat, mais si le candidat est Ted Cruz, s’il est Ben Carson, ou, même, s’il est Marco Rubio ou Scott Walker, les choses seront en bonne voie. Carly Fiorina serait une excellente candidate à la vice-présidence.


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour Dreuz.info.


Source

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Thursday, August 13, 2015

Travail dominical : le pape dénonce une "idéologie de profit"



Le Jeudi 13 août 2015 à 11:10 par Maëlle Auriol dans Vie de l'Église




Lors de l’audience générale, mercredi 12 août, le pontife a vivement critiqué la généralisation du travail le dimanche.

"Le temps du repos, surtout celui dominical, nous est destiné pour que nous puissions profiter de ce qui ne s’achète pas et ne se vend pas", a déclaré François devant les 4 000 fidèles venus assister à l’audience générale, mercredi 12 août.
L'esclavage est contre "Dieu et la dignité de la personne humaine"

Le repos dominical est "sacré", a assuré le pape, car il "rappelle à l’homme et à la femme qu’ils sont faits à l’image de Dieu, qui n’est pas esclave du travail, mais seigneur". "Nous aussi, nous ne devons jamais être esclaves du travail, mais seigneurs", a-t-il poursuivi, regrettant que des millions d’hommes, de femmes et d'enfants soient aujourd’hui esclaves du travail. "En ce moment, il y a des esclaves, des personnes exploitées, a repris le pape dans une brève improvisation, et ceci est contre Dieu et contre la dignité de la personne humaine". Il a assuré que "l’obsession du profit économique et de l’efficacité technique" mettaient en danger les rythmes de vie de l’homme. Selon lui, les jeunes sont les premières victimes de ce "mauvais virus" qu'est l'avidité de la consommation.


Une définition du concept de fête

Dans le cadre de son audience générale, le pape a évoqué deux autres dimensions qui rythment la vie de famille : la fête et la prière. Le Saint-Père a mis en garde contre une mauvaise interprétation du concept de fête. "La fête n’est pas la paresse de rester dans son fauteuil ou l’ivresse d’une évasion idiote. Elle est surtout un regard amoureux et reconnaissant sur le travail bien fait". C’est un temps pour "regarder notre maison, les amis que nous accueillons et penser que cette chose est bonne ! La fête est un cadeau précieux de Dieu à la famille humaine, ne l’abîmons pas !" a-t-il affirmé.

François a insisté sur l’importance de vivre des moments de fête dans la famille mais aussi dans l’environnement du travail : "pour les naissances, les mariages, les départs les arrivées : vivre des moments de familiarité dans l’engrenage de la machine productive, cela nous fait du bien !".



Wednesday, August 5, 2015

L’OTAN intercepte des avions russes au-dessus de la mer Baltique




Par Niles Williamson
Mondialisation.ca, 04 août 2015
wsws.org
Région : Russie et CEI
Thème: Guerre USA OTAN





Selon le Financial Times, des chasseurs de l’OTAN ont intercepté au cours des deux dernières semaines de juillet plus d’une vingtaine d’avions russes dans l’espace aérien international au-dessus de la mer Baltique.

Le 24 juillet, des avions de chasse Typhoon de la Royal Air Force, qui ont décollé de la base aérienne d’Amari en Estonie, ont intercepté dix avions militaires russes volant en formation dans l’espace aérien international au-dessus de la mer Baltique. Selon le ministre britannique de la Défense, les pilotes de chasse ont identifié quatre bombardiers Sukhoi, quatre chasseurs MiG et deux avions de transport qui effectuaient une mission de routine.

Ensuite, le 29 juillet, une dizaine d’avions russes, qui effectuaient eux aussi une mission de routine, ont été interceptés dans l’espace aérien international au large de la côte lituanienne.

Les avions russes interceptés se déplaçaient dans un couloir aérien qui est régulièrement utilisé pour atteindre Kaliningrad, région au bord de la mer Baltique qui est située à l’extrémité nord-est de la Russie. Kaliningrad abrite les bases aériennes de Chernyakhovsk, Donskoye et Chkalovsk ainsi que la flotte russe de la mer Baltique.

La dissolution en 1991 de l’URSS et la restauration du capitalisme en Europe de l’Est a coupé la région de Kaliningrad, qui faisait partie de l’administration russe, de toute voie terrestre vers le reste de la Russie. Le territoire est entouré par la Pologne au sud et la Lettonie au nord-est, qui toutes deux sont devenues par la suite des membres de l’OTAN. En conséquence, tout avion militaire russe faisant le voyage aller-retour de Kaliningrad doit traverser l’espace aérien de l’Estonie, de la Lituanie et de la Lettonie, et risque ainsi d’être intercepté par l’OTAN.

Les responsables de l’OTAN profitent de ces vols russes pour affirmer que la Russie effectue une escalade militaire offensive dirigée contre l’Europe.

«Les activités aériennes de la Russie près des frontières de l’OTAN ont augmenté l’année passée tant en nombre qu’en complexité», a dit au Financial Times un responsable de l’OTAN. «Les avions russes volent souvent sans faire fonctionner leur transpondeur, sans faire connaître leurs plans de vol et sans communiquer avec les autorités responsables du contrôle aérien.»

En fait, la confrontation qui est actuellement en train de s’aggraver dans les pays baltes est surtout le résultat d’une escalade militaire provocatrice engendrée en Europe de l’Est par les États-Unis et les puissances de l’OTAN depuis que le coup d’État, perpétré l’année dernière à Kiev avec le soutien de l’OTAN, a mené à une guerre par procuration entre l’OTAN et la Russie en Ukraine.

Les Typhoon britanniques participent à la mission de surveillance aérienne dans les pays baltes de l’OTAN qui implique le déploiement en rotation d’avions de chasse de l’Alliance dans le but de contrôler l’espace aérien au-dessus de la Lituanie, de la Lettonie et de l’Estonie. L’OTAN assume la responsabilité de l’espace aérien au-dessus des États baltes, car ces derniers sont trop petits pour disposer de leurs propres forces aériennes.

Les patrouilles, qui ont débuté en 2004 après l’adhésion officielle des États baltes à l’OTAN, ont été considérablement intensifiées au printemps dernier après le coup d’État pro-américain en Ukraine et la guerre civile qui en a résulté. En avril de l’année dernière, les forces de l’OTAN ont pour la première fois commencé des missions de vol de surveillance depuis la base aérienne d’Amari en Estonie, faisant passer ainsi le nombre de chasseurs impliqués de quatre à seize.

Aux côtés des quatre Typhoon britanniques stationnés en Estonie, des chasseurs venant de Norvège, d’Italie et de Belgique patrouillent actuellement le ciel balte. La Norvège dirige cette mission. Quatre de ses F-16 déployés depuis la base aérienne de Siauliai en Lituanie sont soutenus par quatre Eurofighter italiens. Quatre F-16 belges stationnés à la base aérienne de Malbork en Pologne participent aussi à la mission.

Depuis le début de l’année 2015, des avions de chasse de l’OTAN ont été dépêchés plus de 250 fois à travers l’Europe pour intercepter des avions russes et 120 de ces interceptions ont eu lieu au-dessus de la Baltique. Le nombre d’interceptions effectuées par des avions de l’OTAN devrait dépasser les quelque 400 interceptions comptabilisées en 2014, ce qui représentait déjà une augmentation de 50 pour cent par rapport à 2013.

Les interceptions aériennes au-dessus de la Baltique ne sont qu’une partie du renforcement de la présence militaire des États-Unis et de l’OTAN partout en Europe de l’Est qui vise la Russie. Depuis le coup d’État appuyé par les États-Unis et l’Allemagne l’année dernière à Kiev, les États-Unis et l’OTAN ont effectué toute une série d’exercices militaires impliquant des dizaines de milliers de soldats, du matériel lourd et des avions à travers tout le continent européen, allant du cercle polaire à la mer Noire. Les États-Unis et d’autres alliés de l’OTAN ont effectué le mois dernier des manœuvres militaires en Géorgie, en Ukraine et en Moldavie.

En septembre de l’année dernière, le président américain Barack Obama s’était rendu en Estonie où il avait juré que les États-Unis s’engageaient, «résolument» et «à perpétuité», à défendre militairement les États baltes contre une attaque d’après les conditions de l’article 5 et la clause de défense collective du traité de l’OTAN.

Le nombre croissant d’interceptions d’avions russes par des chasseurs de l’OTAN au-dessus de la mer Baltique multiplie le risque d’un incident entre la Russie et l’un des États baltes qui pourrait déclencher l’application de l’article 5 et dégénérer rapidement en une guerre totale entre les États-Unis et la Russie.

Le secrétaire d’État américain à la Défense, Ashton Carter, avait annoncé en juin que le Pentagone stationnerait de l’artillerie lourde ainsi que des chars et autre équipement militaire en rotation partout en Europe de l’Est. Parallèlement, l’OTAN a annoncé vouloir tripler la taille de sa Force de réaction visant la Russie en renforçant aussi sa force opérationnelle inter-armée à très haut niveau de préparation (Very High Readiness Joint Task Force) qui a été développée pour être capable de se déployer n’importe où en Europe en l’espace de deux jours.

L’Alliance est actuellement sur le point d’achever les préparatifs des manœuvres de l’OTAN «Trident Juncture 2015» (TJ15), le plus grand exercice militaire depuis 2002 impliquant 36.000 hommes issus de plus d’une trentaine de pays pour prendre part à des exercices qui se dérouleront en Espagne, en Italie et au Portugal.


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