Monday, March 31, 2008

LES HUGUENOTS

Étymologie protestante

HuguenotÉtymologie incertaine. Ce terme viendrait de l'allemand Eidgenossen qui signifie confédérés. Employé d'abord par dérision, il a commencé à se répandre vers 1559-1560.
ProtestantContrairement à la signification moderne de celui qui proteste contre quelque chose, mais dans la langue du XVIe siècle, il est celui qui témoigne de sa foi. Vient du latin pro = devant et testare = témoigner.
DésertDans l'histoire du protestantisme français, le mot « désert » a une connotation particulière. En effet, il renvoie aux assemblées clandestines tenues par les protestants après la révocation de l'Édit de Nantes par Louis XIV, en 1685. Ce terme « désert » a été choisi en référence aux épreuves des Hébreux traversant le désert après leur fuite d'Égypte.
R.P.R.(ou Religion Prétendue Réformée) Désigne la religion protestante (dite aussi réformée) sous l'ancien régime, que ce soit sous l'Edit de Nantes ou après sa révocation. Ses adeptes sont d'abord dits "huguenots", "religionnaires", "ceux de la RPR", puis ensuite au XVIIIème siècle "calvinistes", "protestants" ou encore, dès 1535, avec une nuance péjorative, "parpaillots".
Cène(ou Sainte Cène) Du latin cena (grec κοινος) qui signifie repas (ou dîner) pris en commun. C'est la communion sous les deux espèces : le pain (sous sa forme normale et non pas une hostie) et le vin, telle que Jésus l'a instituée. Voir aussi Les temps forts de la vie d'un protestant.
SynodeAssemblée, composée de délégués de chaque paroisse (souvent un laïque et un pasteur), ayant pouvoir de décision, essentiellement en matière de discipline et d'organisation religieuse. Il en existe à deux niveaux : régional ou provincial, et national.
MinistreOu ministre du Saint Evangile ou ministre de la Parole [de Dieu], terme usuellement employé du XVIème au XIXème siècle pour désigner les pasteurs protestants.
DragonadesLe principe de la « dragonnade » est fort simple : il consistait à contraindre les familles de « protestants récalcitrants » à se convertir à la confession catholique, en exerçant sur elles une intolérable pression financière, pouvant parfois les acculer à la ruine. On les obligeait pour ce faire, à loger chez eux des dragons et leurs montures, les frais d'entretien et de nourriture des hommes et des chevaux incombant, naturellement, aux « familles d'accueil ». Ces militaires étaient en droit d'exiger de leurs « hôtes » tout ce que bon leur semblait, tant sur le plan de la qualité que sur celui de la quantité. Il ne s'agit là, bien entendu, que de la partie « officielle » de la chose, à laquelle il faut ajouter les diverses exactions auxquelles pouvaient parfois se livrer impunément ces soudards, et que l'on imagine facilement !
ParpaillotSobriquet donné aux protestants dès le XVIème siècle (attesté dans Rabelais en 1535). Viendrait du gascon parpailhol "papillon blanc" ou de l'occitan parpaillon "papillon". Toutefois, son étymologie est controversée. À ce sujet lire Les parpaillots : recherches sur l'origine de ce sobriquet par Paul Cazalis de Fondouce. - Nîmes : C. Lacour (reprint éd. Montpellier de 1860), 1994. - 2-86971-926-4 (Bib. Ste Geneviève à Paris 8 D SUP 34842 et BU Reims 284 CAZ).



Le Refuge Huguenot

Refuge Huguenot En 1685 : Le roi Louis XIV révoque l'Édit de Nantes et interdit en France la Religion Prétendue Réformée (RPR), calviniste. La persécution religieuse s'intensifie et les religionnaires, ceux qu'on appelle depuis un siècle les huguenots, fuient le royaume. 180 000, sur 800 000, partiront. Pour les mêmes raisons, d'autres quitteront le Piémont.

Qui étaient ces réfugiés ?
D'où venaient-ils ?
Qui les aida ?
Où allaient-ils ?
Où s'installèrent-ils ?

Pour obtenir les réponses à ces questions, voyez :

Les Huguenots, cent ans de persécutions;
Le Refuge au XVIIIe siècle.


Source : Atelier d'Ingénierie des Données (CAMS)




La croix huguenote

Histoire et symbolique

La croix Huguenote La croix huguenote sert exclusivement de signe de reconnaissance entre "parpaillots" de France, mais doit constituer un témoignage évangélique.

Les protestants ont été systématiquement exclus du droit de postuler ou de recevoir des décorations :

• Ordre du Saint-Esprit institué par Henri II en 1578;
• Ordre de Saint-Louis institué par Louis XIV en 1693.

Les protestants ont été systématiquement exclus du droit de postuler ou de recevoir des décorations : Ordre du Saint-Esprit institué par Henri II en 1578 et ordre de Saint-Louis institué par Louis XIV en 1693. Louis XV créa le Mérite Militaire en 1759 ; décoration destinée cette fois à récompenser des officiers protestants. Mais ces derniers n'étaient pas français d'origine, mais descendants de huguenots établis hors des frontières et y servant le roi de France dans les régiments étrangers.

Un orfèvre protestant à l'esprit pratique et frondeur eut l'idée de créer, à l'usage de ses seuls coreligionnaires, un insigne dont la forme générale aurait l'avantage d'être familière, mais dont certains détails et une disposition originale rappelleraient sans les plagier, les décorations interdites aux protestants. C'est ainsi que le nimois Maystre, demeurant 4 rue du Marché, imagina vers 1688 (trois ans après la Révocation de l'Édit de Nantes), de suspendre la colombe à une croix de Malte fleurdisée. Son succès fut immédiat, d'autant plus qu'elle échappait aux persécutions car elle dérivait d'une décoration à la fois officielle et catholique (la croix de l'ordre du Saint-Esprit). D'autre part, elle permettait d'avoir sur soi une croix différente de la croix catholique abhorrée.

L'abbé Valette, curé de Bernis, fait état de l'engouement qui se manifesta pour cette parure pendant et après l'apparition des "prophètes" cévenols : « On rendait ainsi hommage au Saint-Esprit et au sacerdoce universel en portant un insigne irréprochable pour les persécuteurs, puisqu'il dérivait d'une très officielle et très catholique décoration. »

Le peuple protestant s'enthousiasma pour un bijou dérivé de la plaque qui ornait la poitrine de ses principaux adversaires. On dirait vraiment que le peuple protestant, sur l'initiative de cet orfèvre, a voulu dire aux cent chevaliers triés sur le volet, de l'ordre du Saint-Esprit : "Vous n'avez pas le monopole du Saint-Esprit ! Dieu a promis de le répandre sur toute créature. Nos prophètes, nos inspirés le possèdent autant sinon plus que vous ! nous croyons au sacerdoce universel !..." Des femmes protestantes choisirent cette croix de préférence à la croix latine, qui avait un caractère catholique affirmé, et dont Théodore de Bèze avait récusé la figure matérielle.
Trissou
Cependant, le pendentif des Croix huguenotes, même très anciennes ne se présente pas toujours comme une colombe, mais comme une espèce de boule allongée qui fut appelée en langue d'oc le "trissou", c'est à dire le petit pilon destiné à écraser une substance ou un aliment dans un mortier.

L'imagination populaire et la recherche érudite ont pourvu le "trissou" de diverses explications: larme de l'Église affligée ou langue de feu semblable à celles qui à la Pentecôte se posèrent sur la tête des disciples.

Il s'agirait, selon Pierre Bourguet, d'une ampoule ou petite fiole semblable à la Sainte Ampoule destinée au Sacre des Rois de France: celle que Saint-Rémy aurait reçu du ciel portée par une colombe pour le baptême de Clovis. La colombe du Saint-Esprit figurait sur cette ampoule vénérée. Aussi ne serait-il pas surprenant que la représentation de la colombe alterne avec celle du réceptacle sacré, sous les Croix huguenotes empruntées par les Protestants au symbolisme de la Royauté persécutrice. Hommage héroïque de fidélité au Roi ou signe de reconnaissance habilement camouflé, peut-être les deux à la fois, la Croix huguenote dut en partie son succès à son ambiguïté.

La croix Huguenote La légende prétend qu'après la révocation de l'Édit de Nantes, la larme adjointe à la croix de Malte aurait symbolisé les pleurs de l'Église Réformée affligée ou langue de feu semblable à celle qui, à la Pentecôte, se posèrent sur la tête des disciples. Il s'agit en fait d'une ampoule représentant la fiole sacrée que l'on conservait dans la cathédrale de Reims. Elle était remplie d'une huile réputée intarissable et qui depuis, servit à sacrer tous les rois de France. Par cette ampoule, ils n'ont cessé de prier avec l'encouragement et l'exemple des synodes.

La croix huguenote, appelée ainsi depuis la fin du XIXe siècle, est composée d'une croix de Malte, les branches sont reliées entre elles par un motif circulaire qui, d'une part, rappelle la couronne d'épines du Christ crucifié et qui, d'autre part, forme entre chaque branche un coeur, à la fois symbole de l'amour de Jésus-Christ pour nous et rappel de son commandement aimez-vous les uns les autres (Jean 13:34). Les pointes aux extrémités de chaque branche sont arrondies en forme de boules et au nombre de huit comme les béatitudes.

En bas, la colombe en pendentif représente évidemment le Saint-Esprit qui descend du ciel sur nous.


Fleurs de LysFleurs de Lys stylilisées.
Les protestants tenaient à proclamer malgré les persécutions, leur attachement au roi.
Rai de lumièreRai de lumière évoquant la trinité.
ColombeColombe représentant le Saint-Esprit, venant du ciel vers la terre la tête en bas. Hommage à la puissance de Dieu venant habiter dans le coeur de ceux qui l'évoquent. En se remémorant le texte biblique du déluge, la colombe joue aussi le rôle de la messagère le la délivrance.

La croix HuguenotePointes arrondis représentant les huit Béatitudes.


Ouverture est en forme de coeur.

Lis de France à quatre pétales formant une Croix maltaise
pour quatre Évangiles.


Quatre fleurs de lis à trois pétales (total 12)
pour les douze Apôtres.


Colombe suspendue symbolisant l'Saint-Esprit.

La Croix

Croix occitane
Croix
occitane
Croix du Saint-Esprit
Croix du
Saint-Esprit
Symbole chrétien, la croix a été représentée sous des formes très différentes dans l'art et l'héraldique du Moyen Age.

La croix huguenote dérive de la Croix de Malte avec des échancrures triangulaires à l'extrémité de chaque branche, alors que la Croix du Languedoc (ou croix occitane, laquelle descendrait de la croix de l'ordre du Saint Esprit qui lui est semblable, à l'exception de la colombe, inscrite dans la croix au lieu d'être pendante au dessous) est une croix de Malte dont les branches sont allongées par des triangles qui forment des pointes de flèches.

On dit en héraldique qu'elle est "boutonnée" à cause des boules qui terminent les pointes. Elle présente une grande analogie avec la Croix de "L'Ordre du Saint-Esprit", instituée par Henri III en 1578 : "croix suspendue d'or à huit pointes émaillée blanc et vert, cantonnée de fleurs de lis, portant à l'avers la colombe rayonnante."

Plusieurs autres décorations françaises sont conçues d'après ce type de croix : L' Ordre de Saint-Michel fondé par Louis XI en 1469 pour commémorer la résistance du Mont Saint-Michel aux attaques anglaises; l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis créé par Louis XIV en 1693 qui était accessible aux bourgeois comme aux nobles mais dont les non-catholiques étaient exclus; le Mérite militaire créé par Louis XV en 1759 qui était destiné à récompenser des officiers protestants servant dans les régiments étrangers; la Croix de la Légion d' Honneur instituée par Napoléon 1er en 1805.

Dans la Croix huguenote, les quatre motifs qui relient les branches entre elles sont des fleurs de lis stylisées qui rappellent celles qui figurent à la même place dans les Ordres royaux de Saint-Michel, du Saint-Esprit, de Saint-Louis et dans le Mérite militaire. Pour Pierre Bourguet, il s'agirait de coeurs stylisés.


La Colombe

Proverbe 1:28 La colombe est un symbole biblique, dont les réformateurs, ont admis la reproduction en "image taillée". C'est la colombe qui avertit Noé que le niveau des eaux du déluge a baissé : "La colombe revint à lui sur le soir; et voici, une feuille d'olivier arrachée était dans son bec" (Genèse 8:11). Les quatre Évangélistes attestent que Christ, au moment de son baptême, "vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe" (Mathieu 3:16; Marc 1:10; Luc 3:22; Jean 1:32).

Dans l'histoire légendaire de la France, c'est encore la colombe du Saint-Esprit qui apporta à Clovis l'huile de l'onction royale. Conservée à Reims dans une ampoule d'or portant l'image d'une colombe, c'est la même huile qui était censée oindre tous les Rois de France. Elle est gardée le jour du sacre par les Chevaliers de la Sainte Ampoule dont l'insigne était la colombe sur une croix de Malte et, au-dessous, une "main d'incarnation" recevant la Sainte Ampoule.

En joaillerie, la colombe du Saint-Esprit est presque toujours représentée la tête en bas et les ailes déployées, volant du ciel vers la terre. Elle est dite "rayonnante". C'est ainsi qu'elle apparait au milieu de la Croix de l' Ordre du Saint-Esprit et, en pendentif, au-dessous de beaucoup de Croix huguenotes.

La colombe a souvent été employée, seule, comme bijou. Elle était représentée tantôt avec beaucoup de détails réalistes (bec, plumes, ailes), tantôt en filigrane. Elle était parfois rehaussée d'une ou de plusieurs pierres précieuses : brillant, grenat, rubis ou émeraude. Elle peut prendre l'aspect d'une petite croix.


Note sur le mot "Huguenot"

Le terme de Huguenot, d'abord employé par dérision, a commencé à se répandre vers 1559-1560. Plusieurs hypothèses ont été émises sur l'origine de ce mot. La plus plausible est celle qui le fait remonter à l'allemand "Eidgenossen" qui signifie "Confédérés". Le bijou appelé Croix Huguenote n'a pris ce nom qu'à une époque récente (fin du XIXe siècle). Il a parfois été appelé Croix Cévenole.

(Texte communiqué par la Société d'Histoire du Protestantisme Français,
54 rue des Saints-Pères, 75007 Paris.)


Source : BIP; 916, Date de parution : 08 février 1984. — Fédération Protestante de France


Pour en connaître davantage

— Pierre Bourguet, "La Croix Huguenote" (2d. Les Bergers et les Mages) lère édition 1949.

— Bulletin de la Société d'Histoire du Protestantisme français, t. 59 (1910) "Croix huguenotes et bijoux cévenols" par le Dr. Louis Malzac.

— Le Protestant aixois, janvier 1932. "Notes sur la croix huguenote" par le Colonel Campestre : "Des artisans parcourant les hameaux et villages s'ingéniaient à faire des croix avec des pièces de monnaie en or et offraient leurs services sur place. L'or enlevé servait de salaire, ce qui peut, jusqu'à un certain point, expliquer les différences sérieuses d'épaisseur".

— B.S.H.P.F. t. 81 (1932) article du Doyen Raoul Allier : "La Croix huguenote" (d'abord publié dans les Nouvelles de "La Cause" (11 mars 1932) : Le pendentif a précédé la larme. Cite l'abbé Valette, "Histoire des troubles des Cévennes", manuscrit 13848 de la Bibliothèque de la Ville de Nîmes.

— Le papillon vu de face, tient un peu de la colombe. Retourné, il offre l'aspect de la croix huguenote.


Bibliographie

ALLIER, Raoul. - La croix huguenote. - in : Bulletin de la Société d'Histoire du Protestantisme français, 1932, t. 81.
BOURGUET, Pierre. - La croix huguenote. - [En Cévennes] : Musée du Désert, 1991. - 2e éd. - 64 p. ; 16 cm. (BML K 54559) CAMPESTRE, Colonel. - Notes sur la croix huguenote. - in : Le protestant aixois, janvier 1932.
MALZAC, Louis. - Croix huguenotes et bijoux cévenols. - in : Bulletin de la Société d'Histoire du Protestantisme français, 1910, t. 59.

NOTE : BML (Bibliothèque Municipale de Lyon) est suivi de la cote de l'ouvrage dans cet établissement.


Modèles de Croix Huguenote

Pour voir d'autres différents modèles de Croix Huguenotes.


Philatélie

Timbre : Croix Huguenote
Timbre : Croix Huguenote
(300e anniversaire de la
Révocation de l'Édit de Nantes de 1685)
Henri IV Timbre : Henri IV né à Pau en 1553-1610
(Henry de Navarre)



Source : L'Église Réformée de France (ÉRF)Huguenots Web

.

Source: http://godieu.com/doc/huguenots/index.html

Sunday, March 23, 2008

Les Origines de PÂQUES

CI-BAS UNE RECHERCHE SUR LES ORIGINES
DE PÂQUES OU EASTER OU PASSA'H

Traduction faite avec le logiciel "Systran". compréhension du texte passable... Original en anglais au bas de la page. Merci et bonne lecture. Nenki.

LE CULTE DES PAGANS, PAÏENS ET PAYSANS DE PÂQUES

Lisant d'Encyclopedia décrit de Compton, 1948, le volume 4, la page 140, nous trouvons cela
Pâques est le plus grand festival de l'église chrétienne, qui commémore le resurrection de Jésus le Christ que le festival a été baptisé du nom de la déesse antique d'Anglo Saxon du ressort!

PÂQUES.
Le plus grand festival de l'église chrétienne commémore la Résurrection de Jésus le Christ.
C'est un régal mobile, on ne le tient pas toujours dessus c.-à-d.,
la même date. Le conseil d'église de Nicea (a.d. 325) a décidé que Pâques devrait être
célébré le premier dimanche après la première pleine lune ou après l'équinoxe vernal
(mars 21). Pâques peut venir dès mars 22 ou aussi en retard qu'avril 25.
Pâques nommée vient de la déesse anglo-saxonne antique du ressort,
Eostre ou Ostara, dans lesquels l'honneur un festival annuel de ressort a été tenu. Une partie de
nos coutumes de Pâques sont venues de ceci et de tout autre ressort de pre-Christian
festivals. D'autres viennent du régal de Passover des juifs, observé dans la mémoire de
leur deliverance d'Egypte (voir le Passover). Le mot ' ' paschal, ' ' signifiant
' ' concerner Pâques, ' ' comme le mot français pour Pâques, Pâques, vient par
Latin du nom hébreu du Passover.
Le dictionnaire de la bible d'Unger, par Merrill F. Unger, 1957, la page 283, continue à
corroborez ce fait, dire:
Pâques (pascha de gr., de pesah de Heb.), le Passover, et ainsi traduit dedans
chaque passage sauf ' ' prévoir après Pâques pour l'apporter en avant au
les gens ' ' (actes 12:4). Dans les versions anglaises plus tôt Pâques avait été
souvent utilisé comme traduction de pascha. À la révision de bout Passover était
substitué dans tous les passages mais ceci. Voir Le Passover.
Le mot Pâques est d'origine de Saxon, Eastra, la déesse du ressort, dans lequel l'honneur
des sacrifices ont été offerts tous les ans au sujet du temps de Passover. Par le 8ème siècle
Les Anglo-Saxons avaient adopté le nom pour indiquer la célébration du Christ
resurrection.
C'est un fait historique entièrement documenté que le jour qui a été choisi par l'église chrétienne pour célébrer ce resurrection, était un jour qui avait été célébré par des pagans de l'antiquité! Oui, la seule différence entre ces deux célébrations, est le fait que son nom a été changé pour le plaquer avec la respectabilité chrétienne!
Ce n'est simplement aucun secret que PÂQUES a lancé avec le CULTE D'une DÉESSE de PAGAN!
Ce fait est présenté presque chaque fois qu'on recherche le mot Pâques.
Encyclopedia de Compton, 1956, le volume 4, dit ceci au sujet de Pâques:
' ' beaucoup de coutumes de Pâques viennent des vieux oeufs colorés du monde... et les lapins ont
venez de l'antiquité pagan comme symboles de la nouvelle vie... notre nom ' Pâques ' vient de
' Eostre ', une déesse antique d'Anglo Saxon, à l'origine de l'aube. Dans pagan
chronomètre un festival annuel de ressort a été tenu dans son honneur. Quelques coutumes de Pâques ont
venez de ceci et d'autres festivals de ressort de pré-chrétien.' '
Avoir connaissance de ce festival de ressort de Pre-Christian de trouille et de référence standard de Wagnall
Encyclopedia, 1962, le volume 8, la page 2940, nous apprenons:
Bien que Pâques soit un festival chrétien, elle incarne des traditions d'un temps antique
antedating l'élévation de christianisme. L'origine de son nom est perdue dans le faible
après; quelques disciples croient qu'elle est dérivée probablement d'Eastre, nom anglo-saxon
d'une déesse de Teutonic de ressort et de fertilité, à qui était Eastre consacré
monath, correspondant à avril. Son festival a été célébré le jour du
l'équinoxe vernal, et les traditions liées au festival survivent dans
lapin familier de Pâques, symbole du lapin fertile, et dans également le familier
oeufs de pâques colorés à l'origine peints avec des tonalités homosexuelles pour représenter la lumière du soleil
du ressort.
De tels festivals, et les mythes et les légendes qui expliquent leur origine, abondés dedans
religions antiques. Le mythe grec du retour de la terre-déesse Demeter du
pègre à la lumière du jour, symbolisant le resurrection de la vie au printemps
après le long hibernation de l'hiver, a eu ses contre-parties, parmi beaucoup d'autres, dans
Légende latine de Ceres et Persephone. Le Phrygians a cru que leur tout-puissant
le deity est allé dormir à l'heure du solstice d'hiver, et ils ont exécuté des cérémonies
à l'équinoxe de ressort pour le réveiller avec la musique et danser. L'universalité de tels
les festivals et les mythes parmi les peuples antiques a mené quelques disciples à interpréter
le resurrection du Christ en tant que mystical et exalted la variante des mythes de fertilité
Le dictionnaire de la mythologie, du folklore, et des symboles, la partie 1, la page 487 nous indique
plus au sujet de ce festival de printemps:
' ' il incorpore certaines des cérémonies antiques d'équinoxe de ressort du culte du soleil
dans à ce qui là étaient les rites phallic et jaillissent les feux, et dans à quel le deity ou offre
le deity a été mangé... le festival est symbolisé par un lis d'ascension... une rupture de nana
sa coquille, les couleurs blanches et vertes, l'oeuf, fleurs de ressort, et le lapin.
le nom est lié à Astarte, à Ashtoreth, à Eostre et à Ishtar, la déesse qui a visité
et s'est levé de la pègre. Rendements de Pâques ' supportant des EOS... ' Supportant L'Aube '.' '
Partie de ce festival de printemps concentrer sur Phallic Rites. Encyclopedia De Collier, 1980, Volume
9, la page 622, nous indique du festival babylonien Phallic Rites d'Ishtar:
Les festivals d'Ishtar étaient symbolical d'Ishtar en tant que déesse de l'amour ou de la génération.
Car la fille du péché, le dieu de lune, elle était la déesse de mère qui a présidé
naissance finie d'enfant; et les femmes, dans son honneur, ont sacrifié leur virginity le jour de régal ou
sont devenues les prostituées de tempe, leurs revenus étant une source de revenu pour la tempe
prêtres et domestiques.
Nous nous renseignons sur ces prostituées de tempe du dictionnaire de l'interprète de la bible,
Volume 3, pages 933-934:
a. Le rouleau de la prostituée sacrée dans le culte de fertilité. La prostituée qui était
le fonctionnaire du culte en Palestine antique et terres voisines des périodes bibliques a exercé
fonction importante. Cette religion a été affirmée sur la croyance cette les processus de
la nature ont été contrôlées par les relations entre les dieux et les déesses. Projection
leur compréhension de leurs propres activités sexuelles, les worshipers de ces derniers
les deities, par l'utilisation de la magie imitative, se sont engagés dans des rapports sexuels avec
passionnés du shrine, dans la croyance que ceci encouragerait les dieux et
déesses à faire de même. Seulement par des relations sexuelles parmi les deities pourrait
ont équipé le désir pour l'augmentation des troupeaux et les champs, aussi bien que dans sa propre famille, soient
réalisé. En Palestine les dieux Baal et Asherah étaient particulièrement en avant (voyez
BAAL; ASHERAH; CULTES DE FERTILITÉ). Ceux-ci ont concurrencé Yahweh Dieu
de l'Israel et, dans certains cas, peut avoir produit des cultes hybrides de Yahweh-Baal. Attaché
aux shrines de ces cultes étaient les prêtres aussi bien que des prostituées, mâle et femelle.
Leur service en chef était sexuel dans l'offre de nature__the de leurs corps pour le rituel
buts.
Les relations sexuelles pour des buts rituels étaient la cérémonie pour les cultes de fertilité. L'Interprète
Le dictionnaire, le volume 2, la page 265 indique:
CULTES DE FERTILITÉ. Le dispositif commun le plus ancien des religions du
le proche Orient antique était le culte d'une grande mère-déesse,
personification de fertilité. Été associé à elle, habituellement comme consort, a a
un jeune dieu qui est mort et est venu à la vie encore, comme la végétation qui rapidement
le garrot mais fleurit encore. La façon du jeune de la cession dieu était différemment
conçu dans les mythes: il a été massacré par un autre dieu, par les animaux sauvages, par des reapers, près
individu-emasculation, par la brûlure, par la noyade. Dans quelques variations du thème, il simplement
évadé. Son absence a produit l'infertilité de la terre, de l'homme, et de la bête.
Son consort pleuré et recherché le. Son retour apporté remplacé
fertilité et rejoicing.
Dans Mesopotamia les couples divins apparaissent comme Ishtar et Tammuz, en Egypte comme Isis
et Osiris. Plus tard dans le mineur de l'Asie, la Magna Mater est Cybele et son jeune amoureux
est Attis. En Syrie dans le deuxième millénium b.c., comme vu dans les mythes d'Ugaritic,
un dieu de mort et se levant est Baal-Hadad, qui est massacré par Mot (la mort) et pleuré et
vengé par son sister/consort, l'Anath vierge violent. Dans les mythes d'Ugaritic il y a
de la confusion dans les rôles des déesses. La grande mère-déesse Asherah,
l'épouse du EL en chef sénescent d'un dieu, semble sur le chemin à devenir le consort
du jeune dieu se levant Baal, avec qui nous la trouvons associée dans l'O.t.
Ashtarte apparaît également dans les mythes d'Ugaritic, mais elle a un mineur et undistinguished
rôle.
L'O.t. fournit l'évidence abondante quant au caractère de la religion de la terre
dans ce que l'Israelites est venu. Des rites de fertilité ont été pratiqués aux nombreux shrines
ce qui a pointillé la terre, aussi bien qu'aux sanctuaires principaux. L'Israelites a absorbé
Manières cananéennes et appris à identifier leur dieu avec Baal, dont les pluies ont apporté
fertilité à la terre. Une caractéristique du culte de fertilité était sexuelle sacral
les rapports par des prêtres et des priestesses et autre consecrated particulièrement
personnes, prostituées sacrées des deux sexes, prévues pour émuler et stimuler
les deities qui ont accordé la fertilité.
Le culte agricole a souligné le sacrifice ou le repas commun auxquels les dieux, les prêtres, et le peuple ont participé. Du vin a été consommé dans la grande quantité dans thanksgiving à Baal pour la fertilité des vignes. Le vin également aidé pour induire le délire ecstatic, qui a été culminé par l'individu-lacération, et même parfois par individu-emasculation. l'Enfant-sacrifice était également un dispositif des rites. Ce n'était pas simplement un culte de vin, des femmes, et de chanson, mais d'une question de la vie et de la mort dans lequel les plus chères choses de la vie, et de la vie elle-même, ont été offertes pour assurer
continu de la vie.
Lisant à la page 103 des deux Babylons, par Alexander Hislop, 1959, nous trouvons cette Pâques et
Ishtar sont identique:
Regardez alors Pâques. Que signifie la limite Pâques elle-même? Il soutient sa origine chaldéenne
sur son front même. Pâques n'est rien autrement que ' ' Astarte ' ', un des titres de
Beltis, ' ' la reine du ciel ' ' du dont le nom, comme ' ' a prononcé ' ' par les personnes
Nineveh, était évidemment identique à celui maintenant d'usage courant dans ce pays.
Que ' appelez ', comme trouvé par Layard sur les monuments assyriens, est ' ' Ishtar ' '.
Les deux Babylons par Alexander Hislop nous indique des doctrines de Semiramis:
' ' elle (Semiramis) a enseigné qu'il (Nimrod le chéri) était un filleul; qu'il était
Nimrod, leur reborn de chef; qu'elle et son enfant étaient divins. Cette histoire était
largement connu dans Babylon antique et développé en bien établi
culte de worship__The de la mère et de l'enfant!
Les monuments nombreux de Babylon montrent la mère Semiramis de déesse avec elle
enfant Tammuz dans elle bras.' '
ISHTAR (PÂQUES prononcée) d'Assyria a été adoré dans l'antiquité de Pagan pendant son ressort
festival! Encyclopedia de Collier, 1980, le volume 15, la page 748, nous fournit cette information:
Ishtar, déesse de l'amour et de la guerre, la déesse la plus importante du
Pantheon de Sumero-Akkadian. Son nom dans sumérien est Inanna (dame de ciel). Elle
était la soeur du dieu Shamash du soleil et la fille du dieu Sin. Ishtar de lune était
égalisé avec la planète Venus. Son symbole était une étoile inscrite en cercle. As
déesse de guerre, elle était souvent séance représentée sur un lion. Comme déesse de
amour physique, elle était patronne des prostituées de tempe. Elle a été également considérée
la mère merciful qui intervient avec les dieux au nom de ses worshipers.
Dans toute l'histoire de Mesopotamian elle a été adorée sous de divers noms dans beaucoup
villes; un des centres en chef de son culte était Uruk.
Astarte de Phoenicia était la ramification d'Ishtar d'Assyria. Aux Hébreux, cet abomination a été connu comme Ashtoreth__Ashtoroth. De l'encyclopédie de Collier, le volume 3, la page 13, nous avons lu:
ASHTAROTH [ Æ(terath ] le pluriel du l'' Ashto-reth hébreu,
Déesse Astarte, deity de Phoenician-Canaanite de fertilité, de reproduction, et de guerre
L'utilisation de la forme plurielle indique probablement une désignation générale pour le collectif
les deities femelles des Cananéns, juste comme le Baalim pluriel se rapportent aux deities masculins.
Le dictionnaire biblique et archéologique de Watson, 1833, nous indique davantage à ce sujet
déesse de mère, Ashtaroth:
ASHTAROTH, ou ASTARTE, une déesse du Zidonians. Le mot Ashtaroth
signifie correctement des bandes de moutons, ou de chèvres; et parfois la plantation, ou bois,
parce qu'elle était déesse des bois, et les plantations étaient ses tempes. Dans les plantations
consecrated à elle, un tel lasciviousness a été commis comme rendu son culte
infâme. Elle s'est également appelée la reine du ciel; et parfois son culte
serait cela ' ' du centre serveur du ciel.' ' Elle a été certainement représentée dans
la même façon qu'Isis, avec les klaxons de la vache sur sa tête, pour dénoter l'augmentation et
diminution de la lune. Cicero l'appelle le quatrième Venus des Syriens. Elle est
presque toujours joint à Baal, et s'appelle un dieu, les scriptures n'ayant aucun détail
mot pour exprimer une déesse.
On le croit que la lune a été adorée dans cet idol. Ses tempes généralement
a accompagné ceux du soleil; et tandis que les sacrifices sanglants ou les victimes humaines étaient
offert à Baal, du pain, des boissons alcoolisées, et les parfums ont été présentés à Astarte. Pour elle,
des tables ont été préparées sur les terrasse-toits plats des maisons, portes proches, dans les porches,
et à en croix, le premier jour de chaque mois; et ceci s'est appelé par les Grecs,
Le dîner de Hecate. Solomon, séduit par ses épouses étrangères, a présenté le culte de
Ashtaroth en l'Israel; mais Jezebel, fille du roi du pneu, et de l'épouse à Ahab,
principalement établi son culte. Elle a causé des autels d'être érigés à cet idol dedans
chaque région de l'Israel; et en même temps quatre cents prêtres ont assisté au culte de
Ashtaroth, rois de I xviii. 7.
Le dictionnaire de l'interprète, le volume 3, la page 975, nous indique du rôle d'Ishtar en tant que
Reine de ciel:
Ishtar, la déesse de l'amour et de la fertilité, qui a été identifiée avec l'étoile de Venus
et est autorisé réellement ' ' maîtresse de ciel ' ' dans les comprimés d'Amarna. La difficulté est
que l'étoile de Venus a été considérée en Palestine comme un deity masculin (voir l'ÉTOILE de JOUR),
cependant le culte de la déesse Ishtar a pu avoir été présenté de Mesopotamia
sous Manasseh. Il est possible qu'Astarte, ou ASHTORETH, le Cananén
la fertilité-déesse, dont le culte était bien établi en Palestine, avait préservé plus
traces de son caractère astral comme contre-parties femelles d'Athtar que l'évidence de
l'O.t. ou les textes de Ras Shamra indique. Le titre ' ' reine du ciel ' ' est appliqué dedans
une inscription égyptienne de la dix-neuvième dynastie chez Beth-shan ' ' à Antit, ' '
Fertilité-déesse cananéenne Anat, qui se nomme ' ' reine de ciel et de maîtresse
des dieux.' ' C'est la déesse la plus active dans les textes de Ras Shamra, mais dedans
La Palestine elle des fonctions semblent avoir été succédées en grande partie par Ashtoreth.
Nous trouvons ces informations sur Ashtoreth de l'encyclopédie standard internationale de bible,
1979, le volume 1, pagine 319-320:
Ash'te-reth d'ASHTORETH [ Heb. ' astoret. pl. ' astarôt; Gk. Astarte ]. Une déesse
de Canaan et de Phoenicia dont nom et le culte ont été dérivés de Babylonia,
là où Ishtar a représenté les étoiles de soirée et de matin et était en conséquence
androgyne d'origine. Sous l'influence de Semitic, cependant, elle est devenue seulement femelle,
bien que maintenant une trace de son caractère original au stand sur la pose égale avec
les divinities masculins. De Babylonia le culte de la déesse a été porté au
Semites de l'ouest, et dans la plupart des exemples le suffixe féminin a été attaché à elle
nom; là où ce n'était pas le cas le deity a été considéré comme un mâle. Sur le Moabite
La pierre, par exemple, ' Ashtar est identifiée avec Chemosh, et dans les inscriptions de
l'Arabie méridionale ' Athtar est un dieu. D' autre part, dans l'Atargatis nommé (2 Macc.
12:26), ' Atar, sans suffixe féminin, est identifié avec la déesse ' Athah ou
' Athi (Gk. Gatis). Le culte de l'Aphrodite grec en Chypre a été emprunté
de cela d'Ashtoreth; que le nom grec est également une modification d'Ashtoreth est
douteux. On le maintient, cependant, que les voyelles de Heb. l'' astoret ont été empruntés
du boset (' ' honte ' ') afin d'indiquer la horreur le feutre hébreu de pointes à tracer
vers le paganism et idolatry.
Dans Babylonia et Assyria Ishtar était la déesse de l'amour et de la guerre. Un vieux
La légende babylonienne relie comment l'origine généalogiquee d'Ishtar dans Hades à la recherche d'elle
le mari mort Tammuz a été suivi du cessation du mariage et de la naissance dedans
la terre et ciel; et les tempes de la déesse chez Nineveh et Arbela,
autour de ce qui se sont après développées les deux villes, ont été consacrés à elle en tant que déesse de
guerre. Comme tels elle sont apparus à un des seers d'Ashurbanipal et ont encouragé
Roi assyrien à marcher contre Elam. Les autres déesses de Babylonia, qui étaient
peu plus que des réflexions d'un dieu, tendent à fusionner dans Ishtar, qui est ainsi devenu a
type du divinity femelle, un personification du principe productif en nature,
et plus particulièrement la mère et les creatress de l'humanité.
Dans Babylonia Ishtar a été identifié avec Venus. Comme Venus, Ishtar était la déesse
de l'amour et de la fertilité érotiques. Son siège en chef de culte était Uruk (Erech), où
la prostitution a été pratiquée dans son nom et elle a été servie avec les rites immoraux
par des bandes des hommes et des femmes. Dans Assyria, où le côté guerrier de la déesse
était prédominant, tel rites ne semble pas avoir été pratiqué, et à la place
des prophétesses à qui elle a fourni des oracles ont été fixées à ses tempes.
De diverses sources égyptiennes il s'avère qu'Astarte ou Ashtoreth était hautement
considéré vers la fin de l'âge en bronze.
Lisant aux pages 412-413 du dictionnaire de la bible d'Unger, nous trouvons cette information environ
Ashtoreth-Astarte:
Ash'toreth (ash'to-reth), Astarte, une déesse cananéenne. En au sud arabe le nom est
trouvé en tant que ' Athtar (apparemment ' de l'athara, pour être fertile, pour irriguer), un dieu a identifié
avec la planète Venus. Le nom est apparenté avec Ishtar babylonien, la déesse de
amour, maternité et fertilité sensual. Le culte licencieux a été conduit en l'honneur d'elle
Car Asherah et Anat de Ras Shamra elle étaient le patroness de la guerre aussi bien que le sexe et
est parfois identifié avec ces déesses. L'Amarna marque avec des lettres Ashtoreth actuel
comme Ashtartu. Dans Ras Shamra les comprimés sont trouvés la forme masculine ' Athtar et
l'' Athtart féminin. Le culte d'Ashtoreth était tôt indélogeable chez Sidon (rois de I 11:5,
33; II rois 23:13). Son culte de pollution a même présenté un danger en Israel tôt (Judg.
2:13; 10:6). Solomon a succombé à son culte voluptuous (rois de I 11:5; II Rois
23:13). Le vocalization particulier Ashtoreth au lieu de l'Ashtaroth plus primitif est
évidemment un changement délibéré par les Hébreux pour exprimer leur horreur pour elle
culte en lui donnant les voyelles de leur mot pour ' ' la honte ' ' (bosheth). M. F. U.
Le dictionnaire de l'interprète, le volume 1, la page 252 indique:
L'antipathy vers l'Asherah de la part des chefs hébreus était dû au
fait que la déesse et l'objet de culte du même nom ont été associés à
la religion de fertilité d'un peuple étranger et en tant que tels a impliqué une mythologie et
un cultus qui étaient désagréables aux champions de Yahweh.
Le dictionnaire de la bible d'Unger, la page 412, nous fournit ces informations sur Asherah:
Asherah (a-she'ra), pluriel, Asherim, une déesse pagan, qui est trouvée dans le Ras
Textes religieux épiques de Shamra découverts chez Ugarit en Syrie du nord (1929-1937), As
Asherat, ' ' Madame de la mer ' ' et consort de EL. Elle était la déesse en chef du pneu dedans
le 15ème siècle b.c. avec l'appellation Qudshu, ' ' holiness.' ' Dans le vieux testament
Asherah apparaît en tant que déesse par le côté de Baal, dont le consort elle est évidemment venu
pour être, au moins parmi les Cananéns du sud. Cependant, la plupart des références bibliques
au point nommé clairement à un certain objet de culte de bois, qui pourrait être adoré ou
réduit et brûlé, et qui était certainement l'image des déesses (rois de I 15:13;
II rois 21:7). Ses prophètes sont mentionnés (rois l8:19 de I) et les récipients
utilisé dans son service s'est rapporté (II des rois 23:4).
Son objet de culte, celui qui il ait été, était tout à fait détestable aux worshipers fidèles de Yahweh (rois de I 15:13) et a été installé sur les endroits élevés près ' ' des autels de l'encens ' ' (hammanim)
et les piliers en pierre (masseboth). En effet, les piliers en pierre semblent avoir
a représenté le dieu masculin Baal (cf. Judg. 6:28), tandis que l'objet de culte d'Ashera,
probablement un arbre ou une perche, constituée un symbole de cette déesse (voir le The de W. L. Reed's
Asherah dans le vieux testament, la pression chrétienne d'université du Texas). Mais Asherah était
seulement une manifestation d'une déesse en chef de l'Asie occidentale, considérée maintenant comme
épouse, maintenant en tant que soeur du dieu cananéen principal électrique d'autres noms de ceci
le deity étaient Ashtoreth (Astarte) et Anath. Souvent représenté en tant que femme nue
bestride un lion avec un lis dans une main et un serpent dans l'autre, et dénommé
Qudshu ' ' le Holiness, ' ' c'est-à-dire, ' ' le saint ' ' dans un sens moral perverti, elle était
un courtesan divin. Dans le même sens les prostituées masculines consecrated au culte de
le Qudshu et se prostituer à son honneur étaient qedishim dénommé,
' ' sodomites ' (Deut. 23:18; rois 1 14:24; 15:12; 22:46). Caractéristiquement
Le Cananén le lis symbolise l'appel de grace et de sexe et la fécondité de serpent
(W. F. Albright, Archaeology et la religion de l'Israel, Baltimore, John Hopkins
Serrez, 1942, pages 68-94). Chez Byblos (Gebal biblique) sur le méditerranéen, du nord
de Sidon, un centre consacré à cette déesse a été excavé. Elle et elle
les collègues se sont spécialisés dans le sexe et la guerre et ses shrines étaient des tempes de vice légalisé.
Elle a dégradé le culte a offert un danger perpétuel de pollution en Israel et doit avoir
ont été descendus aux profondeurs de sordid comme convoitise et meurtre glamorized dans la religion cananéenne.
À la page 413 du dictionnaire de la bible d'Unger, nous avons constaté qu'Astarte est le nom grec
pour l'Ashtoreth hébreu. De l'encyclopédie de Collier, le volume 3, la page 97, nous trouvons cela
Astarte-Ashtaroth est simplement le Semitic Ishtar__which que nous avons déjà appris est Pâques prononcée:
ASTARTE [ aesta'rti ], la déesse de Phoenician de la fertilité et amour érotique. Le Grec
le nom, ' ' Astarte ' ' a été dérivé de Semitic, ' ' Ishtar, ' ' ' ' Ashtoreth.' '
Astarte a été considéré dans l'antiquité classique comme une déesse de lune, peut-être dans la confusion avec
un autre deity de Semitic. Selon les traditions littéraires du
Greco-Romans, Astarte a été identifié avec Selene et Artemis, et plus souvent avec
Aphrodite. Parmi les Cananéns, Astarte, comme son pair Anath, a exécuté un commandant
fonction comme déesse de fertilité.
L'iconography égyptien, cependant, a dépeint Astarte dans son rôle en tant que déesse guerrière
humanité massacring, jeune et vieux. Elle est représentée sur des plaques (datées
b.c 1700-1100.) comme nu, dans le contraste saisissant au garbed modestement l'Egyptien
déesses. Edward J. Jurji
Dans Ephesus des périodes primitives, cette DÉESSE de MÈRE s'était appelée DIANA, qui a
été adorée en tant que déesse de Virginity et de maternité. On a dit que représente les
puissances génératives de la nature, et ainsi a été décrit elle avec beaucoup de seins.
Une tour a formé la couronne, symbolisant la tour de Babylon, a orné sa tête:
Lisant des façons et des coutumes de bible, par James M. Freeman, 1972, la page 451,
nous apprenons ces faits sur la mère de toutes les choses:
' ' le cercle rond sa tête dénote nimbus (cercle de péché) de sa gloire, les griffins
intérieur dont exprès son brilliancy. Dans ses seins il y a les douze signes du zodiaque,
de ce que tels vus dans l'avant sont la RAM, le taureau, les jumeaux, le crabe, et le lion;
ils sont divisés près les heures. Son collier se compose de glands, la nourriture primitive
de l'homme. Les lions sont sur elle des bras pour dénoter sa puissance, et elle des mains
sont étirés dehors pour prouver qu'elle est préparez pour recevoir tous ce qui viennent
chez elle. Son corps est couvert de divers seins et monstres, comme sirènes, sphinx,
et griffins, pour prouver qu'elle est la source de
nature, la mère de toutes les choses. Sa tête, mains, et pieds sont de bronze tandis que
le reste de la statue est de l'albâtre pour dénoter la lumière et la nuance
jamais-ever-varying du
le chiffre de la lune... Comme Rhea, elle a été couronnée avec des tourelles, pour
la dénoter
objets terrestres d'excédent de dominion.' '

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THE PAGAN WORSHIP OF EASTER

Reading from Compton's Pictured Encyclopedia, 1948, Volume 4, page 140, we find that
Easter is the Greatest Festival of the Christian Church, which commemorates
the resurrection of Jesus Christ which festival was named after the ancient
Anglo Saxon Goddess of Spring!

EASTER. The greatest festival of the Christian church commemorates the
Resurrection of Jesus Christ. It is a movable feast, that is, it is not always held on
the same date. The church council of Nicea (a.d. 325) decided that Easter should be
celebrated on the first Sunday after the first full moon on or after the vernal equinox
(March 21). Easter can come as early as March 22 or as late as April 25.

The name Easter comes from the ancient Anglo-Saxon goddess of spring,
Eostre or Ostara, in whose honor an annual spring festival was held. Some of
our Easter customs have come from this and other pre-Christian spring
festivals. Others come from the Passover feast of the Jews, observed in memory of
their deliverance from Egypt (see Passover). The word ''paschal,'' meaning
''pertaining to Easter,'' like the French word for Easter, Pâques, comes through the
Latin from the Hebrew name of the Passover.

Unger's Bible Dictionary, by Merrill F. Unger, 1957, page 283, goes on to
corroborate this fact, saying:

Easter (Gr. pascha, from Heb. pesah), the Passover, and so translated in
every passage excepting ''intending after Easter to bring him forth to the
people'' (Acts 12:4). In the earlier English versions Easter had been
frequently used as the translation of pascha. At the last revision Passover was
substituted in all passages but this. See Passover.

The word Easter is of Saxon origin, Eastra, the goddess of spring, in whose honor
sacrifices were offered about Passover time each year. By the 8th century
Anglo-Saxons had adopted the name to designate the celebration of Christ's
resurrection.

It is a fully documented historical fact that the day which was chosen by the
Christian Church to celebrate this resurrection, was a day which had been
celebrated by pagans from antiquity! Yes, the only difference between these
two celebrations, is the fact that its name was changed to veneer it with
Christian Respectability!

It is simply no secret that EASTER originated with the WORSHIP OF A PAGAN GODDESS!
This fact is presented almost every time one researches the word Easter.

Compton's Encyclopedia, 1956, Volume 4, says this about Easter:

''Many Easter customs come from the Old World...colored eggs and rabbits have
come from pagan antiquity as symbols of new life...our name 'Easter' comes from
'Eostre', an ancient Anglo Saxon goddess, originally of the dawn. In pagan
times an annual spring festival was held in her honor. Some Easter customs have
come from this and other pre-christian spring festivals.''

Reading about this Pre-Christian spring festival from Funk & Wagnall's Standard Reference
Encyclopedia, 1962, Volume 8, page 2940, we learn:

Although Easter is a Christian festival, it embodies traditions of an ancient time
antedating the rise of Christianity. The origin of its name is lost in the dim
past; some scholars believe it probably is derived from Eastre, Anglo-Saxon name
of a Teutonic goddess of spring and fertility, to whom was dedicated Eastre
monath, corresponding to April. Her festival was celebrated on the day of the
vernal equinox, and traditions associated with the festival survive in the
familiar Easter bunny, symbol of the fertile rabbit, and in the equally familiar
colored Easter eggs originally painted with gay hues to represent the sunlight
of spring.

Such festivals, and the myths and legends which explain their origin, abounded in
ancient religions. The Greek myth of the return of the earth-goddess Demeter from the
underworld to the light of day, symbolizing the resurrection of life in the spring
after the long hibernation of winter, had its counterpart, among many others, in the
Latin legend of Ceres and Persephone. The Phrygians believed that their all-powerful
deity went to sleep at the time of the winter solstice, and they performed ceremonies
at the spring equinox to awaken him with music and dancing. The universality of such
festivals and myths among ancient peoples has led some scholars to interpret the
resurrection of Christ as a mystical and exalted variant of fertility myths.

The Dictionary of Mythology, Folklore, and Symbols, Part 1, page 487 tells us
more about this Spring Festival:

''It incorporates some of the ancient Spring Equinox ceremonies of sun worship
in which there were phallic rites and spring fires, and in which the deity or offering to
the deity was eaten...The festival is symbolized by an ascension Lily...a chick breaking
its shell, the colors white and green, the egg, spring flowers, and the Rabbit. The
name is related to Astarte, Ashtoreth, Eostre and Ishtar, goddess who visited
and rose from the underworld. Easter yields 'Enduring Eos'... 'Enduring Dawn'.''

Part of this spring festival centered around Phallic Rites. Collier's Encyclopedia, 1980, Volume
9, page 622, tells us of the Babylonian Ishtar Festival Phallic Rites:

The Ishtar Festivals were symbolical of Ishtar as the goddess of love or generation.
As the daughter of Sin, the moon god, she was the Mother Goddess who presided
over child birth; and women, in her honor, sacrificed their virginity on the feast day or
became temple prostitutes, their earnings being a source of revenue for the temple
priests and servants.

We learn about these Temple Prostitutes from The Interpreter's Dictionary of The Bible,
Volume 3, pages 933-934:

a. The roll of the sacred prostitute in the fertility cult. The prostitute who was an
official of the cult in ancient Palestine and nearby lands of biblical times exercised an
important function. This religion was predicated upon the belief that the processes of
nature were controlled by the relations between gods and goddesses. Projecting
their understanding of their own sexual activities, the worshipers of these
deities, through the use of imitative magic, engaged in sexual intercourse with
devotees of the shrine, in the belief that this would encourage the gods and
goddesses to do likewise. Only by sexual relations among the deities could
man's desire for increase in herds and fields, as well as in his own family, be
realized. In Palestine the gods Baal and Asherah were especially prominent (see
BAAL; ASHERAH; FERTILITY CULTS). These competed with Yahweh the God
of Israel and, in some cases, may have produced hybrid Yahweh-Baal cults. Attached
to the shrines of these cults were priests as well as prostitutes, both male and female.
Their chief service was sexual in nature__the offering of their bodies for ritual
purposes.

Sexual relations for ritual purposes was the ceremony for the Fertility Cults. The Interpreter's
Dictionary, Volume 2, page 265 says:

FERTILITY CULTS. The oldest common feature of the religions of the
ancient Near East was the worship of a great mother-goddess, the
personification of fertility. Associated with her, usually as a consort, was a
young god who died and came to life again, like the vegetation which quickly
withers but blooms again. The manner of the young god's demise was variously
conceived in the myths: he was slain by another god, by wild animals, by reapers, by
self-emasculation, by burning, by drowning. In some variations of the theme, he simply
absconded. His absence produced infertility of the earth, of man, and of beast.
His consort mourned and searched for him. His return brought renewed
fertility and rejoicing.

In Mesopotamia the divine couple appear as Ishtar and Tammuz, in Egypt as Isis
and Osiris. Later in Asia Minor, the Magna Mater is Cybele and her young lover
is Attis. In Syria in the second millennium b.c., as seen in the Ugaritic myths, the
dying and rising god is Baal-Hadad, who is slain by Mot (Death) and mourned and
avenged by his sister/consort, the violent virgin Anath. In the Ugaritic myths there is
some confusion in the roles of the goddesses. The great mother-goddess Asherah,
the wife of the senescent chief god El, seems on the way to becoming the consort
of the rising young god Baal, with whom we find her associated in the O.T.
Ashtarte also appears in the Ugaritic myths, but she has a minor and undistinguished
role.

The O.T. furnishes abundant evidence as to the character of the religion of the land
into which the Israelites came. Fertility rites were practiced at the numerous shrines
which dotted the land, as well as at the major sanctuaries. The Israelites absorbed the
Canaanite ways and learned to identify their god with Baal, whose rains brought
fertility to the land. A characteristic feature of the fertility cult was sacral sexual
intercourse by priests and priestesses and other specially consecrated
persons, sacred prostitutes of both sexes, intended to emulate and stimulate
the deities who bestowed fertility.

The agricultural cult stressed the sacrifice or common meal in which the gods,
priests, and people partook. Wine was consumed in great quantity in thanksgiving
to Baal for the fertility of the vineyards. The wine also helped induce ecstatic frenzy,
which was climaxed by self-laceration, and sometimes even by self-emasculation.
Child-sacrifice was also a feature of the rites. It was not simply a cult of wine,
women, and song, but a matter of life and death in which the dearest things of life,
and life itself, were offered to ensure the
ongoing of life.

Reading on page 103 of The Two Babylons, by Alexander Hislop, 1959, we find that Easter and
Ishtar are the same:

Then look at Easter. What means the term Easter itself? It bears its Chaldean origin
on its very forehead. Easter is nothing else than ''Astarte'', one of the titles of
Beltis, ''The Queen of Heaven'' whose name, as ''pronounced'' by the people of
Nineveh, was evidently identical with that now in common use in this country.
That 'name', as found by Layard on the Assyrian monuments, is ''Ishtar''.

The Two Babylons by Alexander Hislop tells us of the doctrines of Semiramis:

''She (Semiramis) taught that he (Nimrod the Babe) was a god-child; that he was
Nimrod, their leader reborn; that she and her child were divine. This story was
widely known in ancient Babylon and developed into a well established
worship__The Worship of The Mother and Child!

Numerous monuments of Babylon show the Goddess Mother Semiramis with her
child Tammuz in her arms.''

ISHTAR (pronounced EASTER) of Assyria was worshiped in Pagan Antiquity during her spring
festival! Collier's Encyclopedia, 1980, Volume 15, page 748, gives us this information:

Ishtar, goddess of love and war, the most important goddess of the
Sumero-Akkadian pantheon. Her name in Sumerian is Inanna (lady of heaven). She
was sister of the sun god Shamash and daughter of the moon god Sin. Ishtar was
equated with the planet Venus. Her symbol was a star inscribed in a circle. As
goddess of war, she was often represented sitting upon a lion. As goddess of
physical love, she was patron of the temple prostitutes. She was also considered
the merciful mother who intercedes with the gods on behalf of her worshipers.
Throughout Mesopotamian history she was worshiped under various names in many
cities; one of the chief centers of her cult was Uruk.

Astarte of Phoenicia was the offshoot of Ishtar of Assyria. To the Hebrews,
this abomination was known as Ashtoreth__Ashtoroth.
From Collier's Encyclopedia, Volume 3, page 13, we read:

ASHTAROTH [Æ(terath] the plural of the Hebrew 'Ashto-reth, the
Phoenician-Canaanite goddess Astarte, deity of fertility, reproduction, and war
. The use of the plural form probably indicates a general designation for the collective
female deities of the Canaanites, just as the plural Baalim refer to the male deities.

Watson's Biblical and Archaeological Dictionary, 1833, tells us more about this
mother goddess, Ashtaroth:

ASHTAROTH, or ASTARTE, a goddess of the Zidonians. The word Ashtaroth
properly signifies flocks of sheep, or goats; and sometimes the grove, or woods,
because she was goddess of woods, and groves were her temples. In groves
consecrated to her, such lasciviousness was committed as rendered her worship
infamous. She was also called the queen of heaven; and sometimes her worship
is said to be that of ''the host of heaven.'' She was certainly represented in the
same manner as Isis, with cow's horns on her head, to denote the increase and
decrease of the moon. Cicero calls her the fourth Venus of the Syrians. She is
almost always joined with Baal, and is called a god, the scriptures having no particular
word to express a goddess.

It is believed that the moon was adored in this idol. Her temples generally
accompanied those of the sun; and while bloody sacrifices or human victims were
offered to Baal, bread, liquors, and perfumes were presented to Astarte. For her,
tables were prepared upon the flat terrace-roofs of houses, near gates, in porches,
and at crossways, on the first day of every month; and this was called by the Greeks,
Hecate's supper. Solomon, seduced by his foreign wives, introduced the worship of
Ashtaroth into Israel; but Jezebel, daughter of the king of Tyre, and wife to Ahab,
principally established her worship. She caused altars to be erected to this idol in
every part of Israel; and at one time four hundred priests attended the worship of
Ashtaroth, I Kings xviii. 7.

The Interpreter's Dictionary, Volume 3, page 975, tells us of Ishtar's role as The
Queen of Heaven:

Ishtar, the goddess of love and fertility, who was identified with the Venus Star
and is actually entitled ''Mistress of Heaven'' in the Amarna tablets. The difficulty is
that the Venus Star was regarded in Palestine as a male deity (see DAY STAR),
though the cult of the goddess Ishtar may have been introduced from Mesopotamia
under Manasseh. It is possible that Astarte, or ASHTORETH, the Canaanite
fertility-goddess, whose cult was well established in Palestine, had preserved more
traces of her astral character as the female counterpart of Athtar than the evidence of
the O.T. or the Ras Shamra texts indicates. The title ''Queen of Heaven'' is applied in
an Egyptian inscription from the Nineteenth Dynasty at Beth-shan to ''Antit,'' the
Canaanite fertility-goddess Anat, who is termed ''Queen of Heaven and Mistress
of the Gods.'' This is the most active goddess in the Ras Shamra Texts, but in
Palestine her functions seem to have been taken over largely by Ashtoreth.

We find this information about Ashtoreth from The International Standard Bible Encyclopedia,
1979, Volume 1, pages 319-320:

ASHTORETH ash'te-reth [Heb. 'astoret. pl. 'astarôt; Gk. Astarte]. A goddess
of Canaan and Phoenicia whose name and cult were derived from Babylonia,
where Ishtar represented the evening and morning stars and was accordingly
androgynous in origin. Under Semitic influence, however, she became solely female,
although retaining a trace of her original character by standing on equal footing with
the male divinities. From Babylonia the worship of the goddess was carried to the
Semites of the West, and in most instances the feminine suffix was attached to her
name; where this was not the case the deity was regarded as a male. On the Moabite
Stone, for example, 'Ashtar is identified with Chemosh, and in the inscriptions of
southern Arabia 'Athtar is a god. On the other hand, in the name Atargatis (2 Macc.
12:26), 'Atar, without the feminine suffix, is identified with the goddess 'Athah or
'Athi (Gk. Gatis). The cult of the Greek Aphrodite in Cyprus was borrowed
from that of Ashtoreth; that the Greek name also is a modification of Ashtoreth is
doubtful. It is maintained, however, that the vowels of Heb. 'astoret were borrowed
from boset (''shame'') in order to indicate the abhorrence the Hebrew scribes felt
toward paganism and idolatry.

In Babylonia and Assyria Ishtar was the goddess of love and war. An old
Babylonian legend relates how the descent of Ishtar into Hades in search of her
dead husband Tammuz was followed by the cessation of marriage and birth in
both earth and heaven; and the temples of the goddess at Nineveh and Arbela,
around which the two cities afterward grew, were dedicated to her as the goddess of
war. As such she appeared to one of Ashurbanipal's seers and encouraged the
Assyrian king to march against Elam. The other goddesses of Babylonia, who were
little more than reflections of a god, tended to merge into Ishtar, who thus became a
type of the female divinity, a personification of the productive principle in nature,
and more especially the mother and creatress of mankind.

In Babylonia Ishtar was identified with Venus. Like Venus, Ishtar was the goddess
of erotic love and fertility. Her chief seat of worship was Uruk (Erech), where
prostitution was practiced in her name and she was served with immoral rites
by bands of men and women. In Assyria, where the warlike side of the goddess
was predominant, no such rites seem to have been practiced, and instead
prophetesses to whom she delivered oracles were attached to her temples.

From various Egyptian sources it appears that Astarte or Ashtoreth was highly
regarded in the Late Bronze Age.

Reading on pages 412-413 of Unger's Bible Dictionary, we find this information about
Ashtoreth-Astarte:

Ash'toreth (ash'to-reth), Astarte, a Canaanite goddess. In south Arabic the name is
found as 'Athtar (apparently from 'athara, to be fertile, to irrigate), a god identified
with the planet Venus. The name is cognate with Babylonian Ishtar, the goddess of
sensual love, maternity and fertility. Licentious worship was conducted in honor of her.
As Asherah and Anat of Ras Shamra she was the patroness of war as well as sex and
is sometimes identified with these goddesses. The Amarna Letters present Ashtoreth
as Ashtartu. In the Ras Shamra Tablets are found both the masculine form 'Athtar and
the feminine 'Athtart. Ashtoreth worship was early entrenched at Sidon (I Kings 11:5,
33; II Kings 23:13). Her polluting cult even presented a danger to early Israel (Judg.
2:13; 10:6). Solomon succumbed to her voluptuous worship (I Kings 11:5; II Kings
23:13). The peculiar vocalization Ashtoreth instead of the more primitive Ashtaroth is
evidently a deliberate alteration by the Hebrews to express their abhorrence for her
cult by giving her the vowels of their word for ''shame'' (bosheth). M. F. U.

The Interpreter's Dictionary, Volume 1, page 252 says:

The antipathy toward the Asherah on the part of the Hebrew leaders was due to the
fact that the goddess and the cult object of the same name were associated with
the fertility religion of a foreign people and as such involved a mythology and
a cultus which were obnoxious to the champions of Yahweh.

Unger's Bible Dictionary, page 412, gives us this information about Asherah:

Asherah (a-she'ra), plural, Asherim, a pagan goddess, who is found in the Ras
Shamra epic religious texts discovered at Ugarit in North Syria (1929-1937), as
Asherat, ''Lady of the Sea'' and consort of El. She was the chief goddess of Tyre in
the 15th century b.c. with the appellation Qudshu, ''holiness.'' In the Old Testament
Asherah appears as a goddess by the side of Baal, whose consort she evidently came
to be, at least among the Canaanites of the South. However, most Biblical references
to the name point clearly to some cult object of wood, which might be worshiped or
cut down and burned, and which was certainly the goddess' image (I Kings 15:13;
II Kings 21:7). Her prophets are mentioned (I Kings l8:19) and the vessels
used in her service referred to (II Kings 23:4).

Her cult object, whatever it was, was utterly detestable to faithful worshipers
of Yahweh (I Kings 15:13) and was set up on the high places beside the ''altars
of incense'' (hammanim) and the stone pillars (masseboth). Indeed, the stone pillars
seem to have represented the male god Baal (cf. Judg. 6:28), while the cult object of Ashera,
probably a tree or pole, constituted a symbol of this goddess (See W. L. Reed's The
Asherah in the Old Testament, Texas Christian University Press). But Asherah was
only one manifestation of a chief goddess of Western Asia, regarded now as the
wife, now as the sister of the principal Canaanite god El. Other names of this
deity were Ashtoreth (Astarte) and Anath. Frequently represented as a nude woman
bestride a lion with a lily in one hand and a serpent in the other, and styled
Qudshu ''the Holiness,'' that is, ''the Holy One'' in a perverted moral sense, she was
a divine courtesan. In the same sense the male prostitutes consecrated to the cult of
the Qudshu and prostituting themselves to her honor were styled qedishim,
''sodomites'' (Deut. 23:18; 1 Kings 14:24; 15:12; 22:46). Characteristically
Canaanite the lily symbolizes grace and sex appeal and the serpent fecundity
(W. F. Albright, Archaeology and the Religion of Israel, Baltimore, John Hopkins
Press, 1942, pages 68-94). At Byblos (Biblical Gebal) on the Mediterranean, north
of Sidon, a center dedicated to this goddess has been excavated. She and her
colleagues specialized in sex and war and her shrines were temples of legalized vice.
Her degraded cult offered a perpetual danger of pollution to Israel and must have
sunk to sordid depths as lust and murder were glamorized in Canaanite religion.

On page 413 of Unger's Bible Dictionary, we have found that Astarte is the Greek
name for the Hebrew Ashtoreth. From Collier's Encyclopedia, Volume 3, page 97,
we find that
Astarte-Ashtaroth is merely the Semitic Ishtar, which we have already learned
is pronounced Easter:

ASTARTE [aesta'rti], the Phoenician goddess of fertility and erotic love. The Greek
name, ''Astarte'' was derived from Semitic, ''Ishtar,'' ''Ashtoreth.''
Astarte was regarded in Classical antiquity as a moon goddess, perhaps in confusion with
some other Semitic deity. In accordance with the literary traditions of the
Greco-Romans, Astarte was identified with Selene and Artemis, and more often with
Aphrodite. Among the Canaanites, Astarte, like her peer Anath, performed a major
function as goddess of fertility.

Egyptian iconography, however, portrayed Astarte in her role as a warlike goddess
massacring mankind, young and old. She is represented on plaques (dated
1700-1100 b.c.) as naked, in striking contrast to the modestly garbed Egyptian
goddesses. Edward J. Jurji

In Ephesus from primitive times, this MOTHER GODDESS had been called DIANA,
who was worshiped as the Goddess of Virginity and Motherhood. She was said to
represent the generative powers of nature, and so was pictured with many breasts.
A tower shaped crown, symbolizing the Tower of Babylon, adorned her head:

Reading from Bible Manners And Customs, by James M. Freeman, 1972, page 451,
we learn
these facts about the Mother of all things:

''The circle round her head denotes the nimbus (sin circle) of her glory, the griffins
inside of which express its brilliancy. In her breasts are the twelve signs of the zodiac,
of which those seen in front are the ram, bull, twins, crab, and lion; they are divided by
the hours. Her necklace is composed of acorns, the primeval food of man. Lions are
on her arms to denote her power, and her hands are stretched out to show that she is
ready to receive all who come to her. Her body is covered with various breasts
and monsters, as sirens, sphinxes, and griffins, to show that she is the source of
nature, the mother of all things. Her head, hands, and feet are of bronze while the
rest of the statue is of alabaster to denote the ever-varying light and shade of the
moon's figure... Like Rhea, she was crowned with turrets, to denote her
dominion over terrestrial objects.''

Paques: Fete 'Pagan', paienne et paysanne...

Pâques: fête 'pagan',
païenne et paysanne...
La célébration de la renaissance
du soleil et de la vie
du printemps.


Le Soleil et la Lune

Stèle de la ville d'Ur en Irak. (R.I.P.)


Isis et Horus, la vierge et l'enfant.

"Happy Easter"
signifie
Heureuse Ishtar,
reine du ciel et de la terre !

Les célébrations de Pâques remontent à la haute antiquité et sont répandues
partout à travers le monde, alors que le bourgeonnement du printemps n'échappa pas à la présence d'esprit des anciens qui vénéraient ce temps de l'année où la vie renaissait dans les champs et sur leurs terres. L'hiver était terminé et le "SUN OF GOD", le Soleil de Dieu, renaissait !

La Passa'h juive (Pâques) ou "Passover" est devenu la Passion du Christ
(Soleil - Horus - Tammuz - Krishna - Osiris - Attis - Jésus, etc...).
Pâques est simplement le "Passage" et Jésus représente l'Agneau de Pâques rituellement sacrifié chaque année par un grand nombres de culture, incluant les Égyptiens, reculant jusqu'à 4000 ans et renouvelé jusqu'à nos jours.

Évidemment, le plus difficile à accepter dans tout cela est que cette histoire de la passion n'est que la reconstitution codée des cultes solaires et lunaires qui la précédèrent et desquels les "évangélistes" se basèrent pour créer une nouvelle religion "universelle" et "romaine". C'est comme lorsqu'on vous a dit lorsque vous étiez jeune que "Le père Noël" n'existe pas... Mais quoi ? Ce sont les parents les vrais père Noël et pas cette histoire de traîneau qui s'envole, de rennes et de lutins dans le pôle nord. Le Domaine du Bois de Gui (HollyWood) vous a drôlement enjôlé voire même possédé par ce "conte de Noël".

Les Pagans, surnommés les "païens" par les premiers chrétiens, et les druides, pratiquaient 'l'astrothéologie' et vénéraient les "dieux" de la nature, le soleil, la lune et les astres. Leur vie sociale était basée sur les cycles solaires et lunaires (comme les amérindiens qui mesuraient les mois en "lune" et quart de lune d'où le chiffre 7 détient une autre signification 4 x 7 = 28 jours et il y a 13 lunes dans une année et non 12. Ce qui expliques les 13 marches du sceau du dollar américain et les 12 étapes + 1 pour atteindre à la complétion de "Anou"). Les païens croyaient que le Dieu de la Nature (tel Tammuz, Osiris, ou Attis) mourrait et renaissait et que sa vie se répandait dans les plantes et les grains consommés par les humains.

Les 'matzot', que les juifs doivent se taper pendant huit jours durant leur pascale, ne symbolise cependant pas le "corps de dieu" (les osties pour les chrétiens, qui en passant sont des hôtes... qui vous habitent) mais plutôt le "pain des pauvres" dont le peuple juif s'était supposément nourri avant de quitter l'Égypte. (Certains érudits de la vraie histoire affirment que la manne dans le désert était des champignons "magiques" ou hallucinogènes). Pas surprenant qu'ils voyaient Dieu partout et que le pape juif porte un chapeau en forme de psylocibe.



Le pape se prépare à embrasser la Torah
le pape juif avec son champignon...

Le but de nous éloigner des connaissances des cycles naturels de la Terre, des astres et du soleil était pour nous éloigner de notre propre condition naturelle terrienne dont nous puisons de la terre et ces ces éléments célestes les forces et courants telluriques. Mais surtout de s'approprier de ces connaissances, les coder afin de tenir le peuple dans l'ignorance et manipuler les masses pour récupérer leurs essences vitales et psychiques.

Lorsque le Soleil ( the "SUN") marie le Ciel avec la Terre (les noces de Canna) et que sa semence (l'eau de pluie) jaillit et pénètre dans son sol, il produit les fruits à la vigne, ses raisins, et transforme l'eau en vin. Voilà la simple symbolisme de cette parabole qui s'est perdu ou plutôt a été occulté de vos connaissances. En effet, c'est un beau miracle que tout bon vivant se doit de célébrer. Demandez-le à tout bon vignoble ou paysan qui fabrique son vin ! Mais comme tout bon citoyen qui s'est fait oblitéré de la nature, les mois et les saisons passent sans qu'ils ne puissent célébrer ces événements importants qui leurs ont été volés et remplacés par des histoires de père Noël et de "passion" sanguinaire et culpabilisante qui n'a fait que créer des guerres et ses martyres.

Le combat entre la lumière et les ténèbres que le Soleil (Christ-Horus-Osiris) doit livrer est celui de traverser l'espace, le temps de l'année où la durée de la lumière du jour est plus longue que celle de la nuit, soit 12 heures 5 minutes. Le soleil meurt le 21 décembre, le jour le plus court de l'année, la solstice de l'hiver, pendant trois jours, et naît trois jour plus tard soit le 25 décembre pour recommencer à grandir alorsque la nuit recule et les jours allongent.
Au printemps, lorsque la nuit devient égale au jour soit 12 heures chacun, ce cycle est commémoré dans l'histoire par sa deuxième mort et lorsque trois jours plus tard la durée de la lumière solaire devient plus long que la noirceur de la nuit, le Soleil a vaincu les ténèbres et il renaît dans toute sa gloire. Les jours s'allongent jusqu'au 21 juin pour recommencer à diminuer jusqu'au 21 décembre. La nuit finira par vaincre la lumière et sera plus longue que le jour à partir de l'équinoxe d'automne, soit le 21 septembre. Est-ce que cela fait du sens ?

Donc vous pouvez voir que les religions sont en fait des simulâcres et re-créations de mythes, connaissances et sagesse ancienne qui évoluaient autour de l'astrothéologie et des cycles de la terre. N'oubliez pas que l'astrologie était une science vénérée depuis les temps les plus reculés jusqu'à ce que "certaines religions" en fassent des mythes démoniaques. (afin de répupérer ces connaissances pour eux seuls et les utiliser pour les raisons que vous connaissez déjà.

Le christianisme et le judaïsme sont des religions dédiées aux cultes solaire et lunaires dédiés à Osiris, Isis, Horus et dont les symboles, artefacts et croyances ont été empruntés (volés serait plus juste) aux cultes et pratiques spirituelles qui les ont précédés. Ils n'ont fait qu'en changer les noms et manipulé les récits pour accomplir leurs fins politiques, celui du pouvoir et contrôle de la Terre, un point c'est tout.
I (Isis) H (Horus) S (Seth)...


Remarquez la croix de chaque côté au bas sur leurs étoles.
Bye, bye !


Cette croix est reliée au culte phénicien de Baal.
Cette stèle fut découverte à Hazor en Israël
ancien site phénicien, cannanéen et Israélien.

À gauche symbole sumérien relié à Nibirou et Shamash, le dieu des fusées,
à côté, la cour du Vatican avec son obélisque au centre.

CULTE SOLAIRE ???
Bien non, voyons !


À gauche: une stèle qui symbolise l'adoration à Baal, le Soleil de Dieu.
À droite, le pape qui soulève l'ostie symbolisant le Soleil,
même geste, même rituel.


Toujours le soleil et ses rayons...
la couronne sur la tête du fils de Dieu, le soleil.

Pièce commémorative dédiée à Pie XII frappée en 1958.
Mettez un peu de soleil dans votre coupe...
Cette femme est la même que la statue de la Liberté
qui porte la couronne solaire autour de sa tête. ISIS.


La statue de la Liberté à Paris et celle de New York,
symbole franc-maçonnique reconnu. "Nous dirigeons, nous faisons, nous vous le disons, nous vous le montrons... et vous ne le voyez, ni ne l'entendez pas.
Et c'est notre force, notre pouvoir sur vous !".

Autre pièce en l'honneur de Jean XXIII frappée en 1959.
Toujours le symbole solaire dans la coupe (terre) d'ISIS, ou Ishtar...


Autre pièce en l'honneur de Paul VI frappée en 1963.
Décidément, ils ont officiellement adopté la vierge ISIS, ou Ishtar,
ou Ninhursag, Ninti, la mère de l'humanité...
Pourtant aucune femme n'a le droit d'être prêtresse
et à voir de quelle façon cette religion a traité les femmes depuis sa création,
il en est très surprenant de voir ce fanatisme féminin déguisé
en vierge noire (Marie Madeleine) qui symbolise la femme
comme servante du Saigneur et martyre de l'Homme.

Alors vous ne saviez pas que le Vatican pouvait frapper
autant de pièces de monaie qu'il le désire. Il fabrique son propre argent.
Vive "Mammon" qui dirige la Banque du Vatican $$$ !!!


Cette pièce commémorative du Vatican fut frappée en 1698.
Comme vous pouvez le voir, il y a belle lurette que ces lascars
produisent leur propres deniers. Encore mieux que Judas.
Si vous plissez les yeux, vous verrez que le côté gauche
ressemble étrangement à Baphomet mais ce sont des coupes
qui font place aux nez et aux yeux. Les épées croisées forment les cornes.
Même la barbiche au bas s'y trouve. La différence est qu'à droite,
la vierge a disparu. On aperçoit le "Sun of God" qui tient la Terre
dans sa main sur laquelle se trouve une croix...
celle qu'ils nous font porter depuis des milléniums.



Tout y est !
La croix inversée, derrière le pape,
la croix 'crochie' entre sa main gauche,
le chapeau du signe du poisson,
symbole d'Horus
et le champignons magique des "Initiateurs",
la manne des juifs !

D'AUTRES SYMBOLES SOLAIRES
POUR QU'À L'AVENIR VOUS LES RECONNAISSIEZ


Sceau de la République de France, 1848.
Une et indivisible, sic. :-)
La "Fraternité" est répandue partout sur Terre.


Le drapeau du Tibet.
Le Dalaï Lama fait parti de cette fraternité occulte.
Mao Tsé Dong a été recruté par l'Université de Yale
(Skull & Bones) au début des années 1900.


Les Témoins de Jéhovah. La Tour de Garde.
La pyramide sur le Soleil. Il n'y manque que l'Oeil à l'intérieur.


COLUMBIA PICTURE
Isis, toujours à l'honneur qui tient sa coupe
et le soleil au sommet de la pyramide à treize marches
tronquée parce qu'on ne voit pas les 2 dernières du sommet.

Hollywood en est le Royaume

Voici ce qu'en disent les chrétiens:
"Selon une légende tenace, on affirme encore certaines années que la date des Pâques catholiques (ou protestantes, c´est la même), ou que la date des Pâques orthodoxes, se trouve retardée pour ne pas coïncider avec la date de la Pâque juive. Il n'en est absolument rien, mais la chose s´est parfois produite durant les premiers siècles. En effet la coïncidence des deux fêtes était pour les philosophes païens un sujet de dérision à l´égard des deux religions, qui prétendaient s´opposer et qui semblaient suivre la même liturgie : les événements célébrés (exode des Hébreux et résurrection du Christ) sont indépendants, mais le second s´est produit dans la semaine de la Pâque juive."

Autre page sur les calculations de "l'Église" pour déterminer la date de Pâques: Vous avez remarqué que la date de Pâques change chaque année. Donc ce n'est pas la date "officielle" de la mort du Christ mais bien la célébration d'un phénomène astrothéologique solaire qui indique les points solaires, lunaires et astraux bien spécifiques et très calculés selon le solstice du printemps.